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Document coûteux, validité limitée et portée internationale modeste: Cher, trop cher passeport
Il y a de cela 35 ans, les Marocains ont forcé admiration et respect quand ils ont répondu en masse et sans l'ombre d'une hésitation à l'appel de la Nation pour contrecarrer de basses velléités colonialistes et séparatistes visant une partie si chère du Maroc.
Trente-cinq années plus tard, les Marocains se mobilisent avec le même enthousiasme et la même détermination pour dénoncer les viles manœuvres de ceux qui se sont inventé une raison pour se positionner en ennemis du Maroc.
Entre-temps, il y a eu une autre marche, contre le terrorisme, cette fois, au lendemain des actes barbares criminels qui avaient visé Casablanca, en mai 2003.
Et pendant tout ce temps, le Maroc n'a cessé d'initier et d'accomplir réformes et chantiers.
Les provinces du Sud, à l'instar de toutes les autres en ont amplement bénéficié. Les Marocains sont aujourd'hui en mesure de se féliciter de toutes ces avancées réalisées, tout en aspirant à voir ces acquis consolidés et renforcés.
On n'y peut rien, si ce n'est pas fait pour plaire à Alger, un voisin qui doit à cette junte militaire qui tient les vraies rênes du pouvoir, d'être désespérément hanté par des visées hégémoniques dépassées et désuètes ou encore à un Parti populaire espagnol qui a du mal à se départir de ses gènes franquistes. Malgré un contexte de crise, il s'est trouvé incapable de discréditer le PSOE au pouvoir. En mal d'arguments, il a tenté de s'en trouver un du côté du Sahara marocain. De petites manœuvres électoralistes qui font fi du bon sens, de la logique, des impératifs du voisinage et donc d'une coopération qui s'étend à plusieurs domaines et devant s'accomplir dans l'intérêt des deux pays. Dans la foulée, c'est une presse à la solde de ce même parti et tout à son image qui n'a pas hésité à souiller ce noble métier qu'est le journalisme, bravant et bradant les règles les plus élémentaires de la déontologie et de l'éthique.
En citoyens responsables et avisés, les Marocains se gardent de faire l'amalgame. Ce n'est pas l'Espagne ni tous les Espagnols qui sont concernés à travers cette magnifique et désormais historique marche, mais bien ces énergumènes du PP et leurs pseudo-journalistes.
Les images de la marche de Casablanca de ce 28 novembre 2010 devront donner également à réfléchir à ces eurodéputés qui se sont cru obligés de suivre le Parti populaire espagnol dans ses dérives.
Le message était, on ne peut plus, très fort.