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“Je pense que beaucoup de gens disent +désolé, je ne peux juste pas me résoudre à ça+”, a-t-elle expliqué sur la chaîne MSNBC, rapporte l’AFP. Interrogée sur ce qu’elle ferait, elle, en cas de duel Clinton-Trump en novembre, celle qui a obtenu l’Oscar de la meilleure actrice pour “La dernière Marche” (1995), un film sur la peine de mort, a ajouté: “Je ne sais pas. Je verrai ce qui va se passer. Vraiment”, a-t-elle insisté.
Devant l’incrédulité du journaliste qui l’interrogeait lundi soir, elle a ajouté: “Certains pensent que Donald Trump apportera la révolution immédiatement s’il gagne”.
Mme Sarandon a expliqué qu’elle voulait “vraiment être du bon côté de l’histoire”, avec Bernie Sanders, un homme “moralement cohérent”, et dont “le jugement est le bon”.
“Le statu quo ne marche pas” aux Etats-Unis, a-t-elle insisté, “et je pense que c’est dangereux de penser que nous pouvons continuer ainsi”.
“Qu’est-ce qui permet de penser qu’une fois qu’elle sera en place, elle va soudain aller contre les gens qui lui ont donné des millions et des millions de dollars?”, a-t-elle expliqué à propos de la démocrate Hillary Clinton. “Je pense que c’est incroyablement naïf”.
Mardi, elle a néanmoins repoussé toute suggestion qu’elle préfèrerait voter Trump —qui a notamment appelé à interdire les musulmans d’entrer aux Etats-Unis— plutôt que Clinton, qui serait la première présidente du pays.
“MDR que je voterai Trump un jour”, a-t-elle tweeté, avec un lien vers un article portant sur sa prestation de la veille sur MSNBC.
Susan Sarandon, 69 ans, toujours très à gauche, également engagée dans des causes humanitaires, avait apporté son soutien à Bernie Sanders en janvier.