La liste des 23 joueurs, publiée jeudi, n'a généralement rien apporté de nouveau par rapport à l'équipe qui a obtenu la qualification, sauf deux nouveaux venus, à savoir le gardien Mohamed Amsif (Augsburg/Allemagne) et l'attaquant Amrabat Noureddine (Kayserispor/Turquie), qui ont fait leur preuve lors de la LG Cup, disputée à Marrakech.
A noter également le retour du gardien titulaire, Nadir Lamyaghri (Wydad Casablanca), qui revient d'une blessure qui l'a maintenu loin des pelouses pendant près d'un mois et dont la participation à la CAN-2012 suscitait plusieurs interrogations.
Parmi les joueurs retenus, plusieurs n'en seront pas à leur première CAN, notamment Marouane Chammakh (Arsenal/Angleterre), Youssef Hadji (Stade Rennes-France), Houcine Kharja (Fiorentina/Italie) et Badr El Kaddouri (Celtic FC/Ecosse), déjà présents en 2004 en Tunisie, en 2006 en Egypte et en 2008 au Ghana.
Lors du premier tour de la CAN-2012, le Onze national, qui figure dans le groupe C, jouera à Libreville, contre la Tunisie (23 janvier), le Gabon (27 janvier) et le Niger (31 janvier).
Ci-après la liste des 23 sélectionnés:
Gardiens de but: Nadir Lamyaghri (Wydad Casablanca). Issam Badda (FUS Rabat). Mohamed Amsif (Augsburg/Allemagne).
Défenseurs: Jamal Allioui (Al Kharytiyath/Qatar). Micheal Basser (Borsa Sport/Turquie). Badr El Kaddouri (Celtic FC/Ecosse). Abdelhamid El Kaoutari (Montpellier/France).Mehdi Benatia (Udinese/Italie). Abdelfettah Boukhriss (FUS). Mustapha Mrani (MAS). Ahmed Kantari (Stade Brest/France).
Milieux: Houcine Kharja (Fiorentina/Italie). Adil Hermach (Hilal/Arabie Saoudite). Karim Ahmadi (Feynord Roterdam). Belhanda Younès (Montpellier HSC/France). Mbarek Boussoufa (Anzi Makhachkala/Russie). Youssef Hadji (Stade Rennes-France).Mehdi Carcela (Anzhi Makhachkala/Russie).
Attaquants: Noureddine Amrabat (Kayserispor/Turquie).Oussama As-Saidi (Heerenveen/Pays-Bas). Youssef El Arabi (Hilal/Arabie Saoudite). Adil Taarabt (Queens Park Rangers/Angleterre). Marouane Chammakh (Arsenal/Angleterre).
Onze national : l’espoir
Après une entame difficile lors des éliminatoires, tout est rentré par la suite dans l’ordre pour que la machine tourne à plein régime, avec un match référence contre l’Algérie soldé sur une victoire des plus convaincantes : 4 buts nets et la naissance d’une nouvelle coqueluche du public marocain, Oussama Essaidi en l’occurrence.
Sauf que l’essentiel reste encore à faire. A la CAN, Gerets et ses protégés seront tenus de jouer à fond leur chance et pourquoi pas aller le plus loin possible dans ce tournoi continental, le dernier à être disputé en une année paire.
Mention spéciale également pour l’équipe nationale olympique qui a réussi à baliser son chemin pour les JO.
Sara El Bekri : Miss podium
Sara El Bikri a été la première sportive marocaine, toutes compétions confondues, à assurer sa qualification aux Jeux olympiques de Londres.
Après sa participation aux JO de Pékin, la nageuse marocaine nourrit l’espoir de faire mieux dans l’édition anglaise. C’est d’ailleurs tout le mal que l’on puisse souhaiter à cette championne pétrie de talent, et vainqueur de six médailles en Championnat d’Afrique qui s’est déroulé à Casablanca et de dix aux derniers Jeux panarabes qui ont eu lieu à Doha.
MAS: la consécration
Le club fassi a réussi pleinement sa campagne continentale, intégrant par là même le cercle fermé des lauréats des Coupes africaines. Une performance qui n’est pas due au hasard, mais à un travail de longue haleine de toutes les composantes de l’équipe.
Un titre amplement mérité qui a enchanté le public marocain, surtout qu’il a été perçu comme une petite revanche du football national sur son homologue tunisien après la défaite du WAC face à l’Espérance de Tunis en finale de la Ligue africaine des clubs champions.
Chapeau bas donc au MAS qui peut se targuer aussi de sa consécration en Coupe du Trône. Reste le championnat pour réussir la passe de trois. Ça ne sera pas tâche aisée, mais c’est jouable.
La fuite des muscles
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Messi: le petit géant
Super Barça
FIFA: les scandales
Les Anglais n’ont pas gobé que leur candidature pour l’organisation du Mondial 2018 tombe à l’eau. Le comité exécutif de la FIFA avait alors choisi la Russie, alors qu’en 2022, c’était au tour du Qatar d’organiser ce prestigieux événement selon le principe de rotation entre les continents.
Sauf que l’enquête menée par des députés et des médias britanniques a révélé bien d’autres choses qui n’ont rien à voir avec le principe de rotation. David Triesman, l’ex-président de la Fédération anglaise et de la candidature anglaise pour l’obtention du Mondial 2018, avait affirmé devant une commission d’enquête parlementaire, que « plusieurs membres du Comité exécutif de la FIFA auraient demandé à être rétribués pour accorder leur vote à l’Angleterre ».
Et pour les pots cassés, c’est Mohamed Bin Hammam, président de la Confédération asiatique qui devait passer à la caisse pour tout payer. Celui-ci, qui devait postuler à la présidence de la FIFA, a été « banni » à vie de toute activité liée au football après avoir été accusé d’avoir voulu acheter des voix lors d'une réunion de la Confédération du football caribéen. Résultat des courses : le Qatar a obtenu le Mondial le plus contesté.
Novak Djokovic, maître des courts
A 24 printemps, Djokovic est devenu le maître incontesté du tennis (70 victoires contre seulement six défaites), ravissant la vedette, du moins pour cette saison, à l’Espagnol Rafael Nadal et au Suisse Roger Federer.
En 2012, Novak Djokovic tentera de préserver cet élan, même si ça sera difficile, surtout que Nadael piaffe d’impatience pour revenir au-devant de la scène, alors que Federer n’a pas encore dit son dernier mot. Sans omettre l’armada des autres raquettes qui ne manquera certainement pas de se dépenser à fond en vue d’atteindre ou de rester au top ten.
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Le 2e Championnat arabe professionnel de golf à El Jadida
Le pilote de Red Bull est en droit de se targuer de plein de records de précocité : « plus jeune pilote à inscrire un point pour son premier Grand Prix, à mener une course, à s'adjuger une pole position, à remporter une course, à être sacré en 2010 ». Couronné à 24 ans 3 mois et 6 jours, il devance de près d'une année l'Espagnol Fernando Alonso.
De prometteuses saisons se dessinent encore devant le champion allemand qui semble bien parti pour affoler les compteurs, n’en déplaise à des concurrents et surtout à un certain Fernando Alonso, le pilote espagnol qui a martelé qu’ «il est vrai que nous sommes maintenant à égalité avec deux titres chacun. Mais si je me projette cinq ans en avant, je préfère être à ma place qu'à la sienne". Attendons pour voir.