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Au lieu d’être aidés, ils seront donc mis à l’amende. Et ce, en concomitance avec le fait que les autorités aient lâché la bride aux commerçants à la sauvette et autres ambulants, obérant ainsi les ressources que le marché aurait pu drainer en temps normal. «L’incendie nous a fait perdre en moyenne quelque 15 millions de DH. Au lieu de nous aider à surmonter ces pertes, les responsables n’ont pas trouvé mieux que de nous menacer de l’envoi de préposés au service des taxes et impôts communaux pour enquêter sur nos étalages futurs. Nous avons longtemps supporté la concurrence déloyale des marchands ambulants laissés libres de leurs mouvements juste devant le souk, mais cette fois-ci c’est notre fin», nous a déclaré un commerçant.
Peut-être pas. D’aucuns mettent néanmoins ces manœuvres sur le compte des pressions indirectes exercées sur les sinistrés pour les pousser à évacuer leurs échoppes afin de remettre celles-ci à l’encan. Une opération qui, si elle est bien menée, pourrait rapporter gros au regard des « tarifs » que l’on tente actuellement d’imposer au sujet des cessions provisoires de ces biens communaux fortement convoités.
Bonjour l’ambiance !