-
Les bidasses d'Alger accouchent d'une ânerie de trop: Le visa pour tout Marocain désireux de se gargariser de "l'Eldorado" algérien
-
Partenariat Maroc-ONUCT. Un engagement continu pour la sécurité et la stabilité en Afrique
-
Le PM palestinien salue les efforts soutenus de Sa Majesté le Roi en faveur de la cause palestinienne
-
Mise en avant à New York de la vision de SM le Roi pour le développement de la coopération Sud-Sud
-
Le CSEFRS publie son rapport annuel au titre de l'année 2023
La date du 29 novembre a été retenue en raison de sa signification particulière pour le peuple palestinien. Ce jour-là en effet, l’Assemblée générale a adopté, en 1947, la résolution 181 (II), connue par la suite sous le nom de « Résolution sur le plan de partage «, qui prévoyait la création en Palestine d’un « Etat juif « et d’un « Etat arabe «, Al-Qods étant placée sous un régime international spécial comme corpus separatum.
Au siège de l’Organisation des Nations unies, à New York, le Comité pour l’exercice des droits inaliénables du peuple palestinien et l'Assemblée générale se réunissent le 29 novembre de chaque année en séance extraordinaire pour célébrer la Journée.
L'Assemblée générale encourage également les Etats membres à continuer d'apporter leur soutien et de promouvoir la célébration de cette Journée qui cette année, revêt une signification particulière, 50 ans après le début du conflit israélo-arabe en 1967.
Il n’en demeure pas moins que, des décennies durant, Israël a impunément créé un état de fait en Palestine Expulsions, annexion, occupation, colonisation, répression et discrimination ont été imposées en toute impunité. Aujourd’hui, les Palestiniens sont privés de leurs droits les plus fondamentaux : libertés d’expression, de circulation, de manifestation, droits économiques, sociaux, culturels, religieux, droit à l’éducation, à la santé et à la sécurité ou tout simplement à la liberté.
Aujourd’hui, environ un tiers du peuple palestinien vit sous une occupation militaire brutale en Cisjordanie, à Al-Qods et à Gaza. La moitié des Palestiniens que compte la planète continue de vivre à l’extérieur de leur pays en tant que réfugiés.
Plusieurs accords visant à un règlement de ce conflit ont été manqués ou non respectés, faute de réelle volonté politique de la part des gouvernements israéliens, d’implication véritable de nombreux Etats sur la base du droit international et des résolutions des Nations unies, et par la faiblesse des dirigeants palestiniens. Les efforts diplomatiques observés ces dernières années n’ont pas de sens si les droits des Palestiniens ne sont pas garantis et si la communauté internationale se plie aux exigences d’Israël et se tait devant des violations manifestes du droit international.
Ce 29 novembre constitue donc un rappel amer de cette réalité dramatique et un énième appel à la communauté internationale et aux consciences vives pour œuvrer à mettre fin à une situation qui n’a que trop duré.