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Les mis en cause, arrêtés le 22 novembre à Berkane, sont poursuivis pour "constitution de bande criminelle en vue de préparer et de commettre des actes terroristes dans le cadre d'un projet collectif visant à porter gravement atteinte à l'ordre public à travers l'intimidation et la violence", l'apologie d'actes de terrorisme'' et ''réunions publiques sans autorisation avec récidive''.
La brigade nationale de la police judiciaire avait déféré, dans la journée, les sept mis en cause devant le procureur général du Roi près la Cour d'appel de Rabat.
Un communiqué du ministère de l'intérieur avait indiqué que dans le cadre du suivi des menaces terroristes, une vidéo incitant au terrorisme intitulée "l'apparition des Jund Al-Khilafa au Maghreb Al-Aqsa", a été repérée sur Youtube, dans laquelle trois personnes cagoulées font allégeance à "Abou Bakr Al Baghdadi", menaçant de perpétrer des actes criminels, meurtres et tortures à l'image de ceux commis par les combattants du soi-disant "Etat Islamique".
Les investigations et enquêtes minutieuses menées par la Direction générale de la surveillance du territorial (DGST) ont permis l'identification des personnes impliquées dans la publication de cette vidéo, avant que la Brigade nationale de la police judiciaire ne procède à leur interpellation le 22 novembre à Berkane, avait précisé le communiqué.
Les mis en cause, anciens détenus dans le cadre de la loi anti-terrorisme, avaient planifié de gagner la Libye à travers le territoire algérien pour coordonner avec des dirigeants de "Ansar Al Chariâa", avant de rejoindre les camps du soi-disant "Etat Islamique" dans la région syro-irakienne afin de bénéficier d'entrainements militaires et opérationnels en perspective de transférer cette expérience criminelle à l'intérieur du Royaume, avait précisé le communiqué.
Les services de sécurité avaient arrêté le lendemain trois autres personnes en relation avec la publication sur internet d'une vidéo incitant au terrorisme.