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A Casablanca, des centaines de personnes ont ainsi manifesté avant-hier à la place des Nations unies pour protester contre le carnage perpétré par le régime syrien contre son peuple notamment à Alep.
Ils ont scandé des slogans dénonçant la passivité de la communauté internationale en l’appelant, en même temps, à se mobiliser pour mettre fin au calvaire du peuple syrien qui dure depuis 2011.
Ils ont brandi également des photos montrant les atrocités de la guerre menée contre les opposants assiégés dans cette ville historique de la Syrie et des pancartes sur lesquelles on pouvait lire par exemple « Alep brûle ».
A noter que cette manifestation qui a duré presque une heure a été appuyée par des organisations politiques (USFP, PJD, Adl Wal Ihassan, entre autres) et des associations de la société civile casablancaise.
A Rabat, une manifestation similaire a été organisée avant-hier devant le Parlement au cours de laquelle les manifestants ont scandé des slogans tels que «Sauvez Alep. Arrêtez le carnage», «Sauvez les enfants d’Alep», «Arrêtez l’holocauste à Alep».
Selon Médecins du monde, «environ 100.000 personnes sont encore piégées sur un territoire de 5 km carrés » à Alep dont les habitants continuent de souffrir des raids aériens et des violents bombardements qui ont repris.
En quatre semaines, l'opération militaire du régime de Bachar El Assad a coûté la vie à plus de 415 civils à Alep-Est selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH), tandis que 130 civils ont été tués par des tirs rebelles dans l'ouest de la ville. Les efforts diplomatiques pour mettre fin au carnage à Alep, comme dans le reste du pays, n'ont jamais porté leurs fruits et les derniers pourparlers américano-russes ont échoué. En plus des pertes humaines, des milliers de personnes ont fui la ville pour sauver leur vie.