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Intervenant à l'ouverture du Conseil du gouvernement, il a souligné l'importance du consensus entre les différents partenaires sociaux et économiques, dans l'intérêt des salariés, a indiqué Mustapha El Khalfi, ministre délégué chargé des Relations avec le Parlement et la Société civile, porte-parole du gouvernement, lors d'un point de presse à l'issue de cette réunion hebdomadaire.
Dans ce sens, Mustapha El Khalfi a évoqué un «accord de principe» avec les syndicats, faisant savoir que le chef du gouvernement annoncera l'«offre» après l'accord définitif qui doit faire l'objet d'un consensus entre toutes les parties.
Pour sa part, le ministre de l'Emploi et de l'Insertion professionnelle, Mohamed Yatim a annoncé, vendredi à Rabat, qu'un accord collectif avec les partenaires sociaux est imminent.
«Nous sommes sur le point de parvenir à un accord collectif avec les partenaires sociaux», qui reflète la détermination des trois partenaires à adopter «le langage du dialogue et du consensus», a-t-il affirmé dans une déclaration à la presse, à l'issue de la quatrième réunion de la commission tripartite, chargée des consultations pour la promotion de la mise en œuvre des normes internationales du travail.
Dans ce sens, il a assuré que son département, avec les syndicats et la Confédération générale des entreprises du Maroc, souhaitent réaliser, d'ici début mai, de nouveaux acquis au profit des employés et de la classe ouvrière marocaine et répondre à leurs revendications.
Il a, en outre, fait savoir que cette réunion, qui coïncide avec la commémoration du centenaire de l'Organisation internationale du travail (OIT), constitue une occasion pour se pencher sur l'avenir du travail et sur les mutations que connaît le marché de l'emploi, particulièrement les nouvelles méthodes de travail, la numérisation et l'apparition de nouveaux métiers.
Cette réunion entre les départements gouvernementaux, le patronat et les centrales syndicales constitue une réponse innovante pour dépasser les divergences des années précédentes, a-t-il noté, soulignant que la compétitivité et la pérennité de l'entreprise, les droits fondamentaux des employés et la protection des normes du travail décent sont les piliers sur lesquels se fondent les relations entre les acteurs sociaux.
Lors de cette rencontre, le bilan des consultations tripartites au titre de l'année 2018 a été présenté et discuté par la commission tripartite et a porté, notamment, sur les accords relatifs à la politique de l'emploi, la formation professionnelle, l'emploi des personnes en situation de handicap, l'âge légal de travail ainsi que la consolidation de l'application des normes internationales du travail.
Les accords relatifs, notamment, aux travailleurs domestiques, conditions de travail et de vie du personnel infirmier, au chômage, à la discrimination au travail et dans l'emploi et à la politique de l'emploi ont été au menu des propositions de la commission pour consultation avec les organisations professionnelles des employeurs et les organisations syndicales les plus représentatives des salariés pour l'année 2019.
S'agissant des recommandations du rapport de la Commission mondiale sur l'avenir du travail, les parties ont débattu du renforcement du capital humain et de l'importance d'investir davantage dans les institutions de travail et dans le travail décent et permanent, dans la perspective de proposer une vision qui tient compte des contraintes et des particularités nationales pour mettre en œuvre ces recommandations.
Cette rencontre s'inscrit dans le cadre de l'application des dispositions de la convention n° 144 (1976), ratifiée par le Maroc le 16 mai 2013, et qui appelle les Etats membres à adopter un instrument national pour mener des consultations tripartites relatives aux normes internationales du travail.
La Barbade réitère son soutien à notre intégrité territoriale
La Barbade soutient l'initiative d’autonomie proposée par le Maroc en tant que solution «sérieuse», «crédible» et «réaliste» au conflit artificiel autour du Sahara, dans le cadre de la souveraineté du Royaume, a souligné Jerome Walcott dans une déclaration à la presse à l'issue de ses entretiens avec le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Nasser Bourita.
La Barbade a cessé de reconnaître la pseudo «RASD» depuis 2013, a soutenu le chef de la diplomatie barbadien. Ce pays situé dans les Caraïbes avait reconnu cette entité fantoche en 1988.
Cette visite confirme la solidité des relations unissant les deux pays et ouvre la voie à une coopération prometteuse, a-t-il relevé, notant que la Barbade considère le Maroc comme étant un allié fort et stratégique.
Il a également salué le rôle important de SM le Roi Mohammed VI, Commandeur des croyants, dans la promotion du dialogue interreligieux et des valeurs de paix, de tolérance et du vivre-ensemble entre musulmans, chrétiens et juifs, soulignant que la récente visite de Sa Sainteté le Pape François au Maroc en est la meilleure illustration.
Un ressortissant suisse écope de 10 ans de prison pour terrorisme
La Chambre criminelle chargée des affaires du terrorisme près l'annexe de la Cour d'appel à Salé a condamné, jeudi, à 10 ans de prison ferme un ressortissant suisse pour constitution de bande terroriste, a-t-on indiqué de source judiciaire.
Le prévenu, P. Nicolas, qui avait été interpellé en janvier 2019 à Témara, a été poursuivi pour des faits de «constitution d'une bande en vue de préparer et commettre des actes terroristes dans le cadre d’un projet collectif visant à porter gravement atteinte à l’ordre public et d’apologie d'actes et d'organisation, ainsi que la non-dénonciation de crimes terroristes».
Ce technicien en publicité informatique a été reconnu coupable dans un dossier séparé par rapport à celui impliquant 22 individus dans l'affaire du double meurtre d'Imlil.
A noter qu'un autre ressortissant espagnol d'origine suisse, Z.K, se trouve en détention préventive avec les autres individus détenus dans le cadre de l'affaire d'Imlil.