Mme Bennouna, une Marocaine, résidant à Valence (Espagne), souffre de graves problèmes psychologiques et de troubles sérieux, et ce suite à une affaire montée de toutes pièces. En effet, du jour au lendemain, elle s’est vu interdire la garde de son enfant par les autorités espagnoles. Ces dernières se sont basées sur une plainte déposée par le père de nationalité espagnole alléguant que son fils était maltraité par sa maman. Pour corroborer ses dires, il a même présenté un enregistrement sonore. Des accusations réfutées en bloc par Mme Bennouna. Selon elle, s’il existe un conflit, c’est bien entre elle et son mari qui n’a pas hésité à exploiter la situation pour arriver à ses fins. Malgré tout, cette Marocaine, âgée de 38 ans et en chômage depuis longtemps déjà, n’a pas eu gain de cause. On lui a refusé ainsi et de façon arbitraire de garder son fils qui a besoin d’elle. La décision est donc injuste, inéquitable et ne repose pas sur des motifs raisonnables.
A ce stade, cette citoyenne marocaine se tourne vers les autorités marocaines notamment les services du ministère chargé des Marocains résidant à l’étranger, le ministère des Affaires étrangères et la Fondation Mohammed VI pour les Marocains du monde afin qu’ils l’assistent et lui prêtent main forte dans sa détresse. Elle demande juste qu’on lui rende son fils. Est-ce trop demander?