Robbie Williams, un papa pas comme les autres

Pas sûr que cette méthode d’apprentissage soit validée par Dolto et compagnie. Robbie Williams se dit prêt à consommer de la drogue avec sa fille si celle-ci décidait de s’y mettre un jour.   Dans le genre papa poule, Robbie Williams se pose là… D’habitude, quand on interroge un artiste  sur sa récente paternité, il s’enthousiasme sur les couches, s’esbaudit sur les biberons trois vitesses, parle premiers gazouillis, poussettes pliables, chaises hautes, petits pots, mais rarement substances illicites.
Oui mais voilà, Robbie Williams n’est pas un papa comme les autres. Ancien toxico, accro à l’héroïne et à la cocaïne, Robbie connaît les dangers de la drogue et il s’inquiète déjà pour sa petite Theodora « Teddy » Rose, 9 mois.
« Je doute qu’elle soit comme moi, confie-t-il à un quotidien australien repris par le Sun. En principe, si je touche du bois et que je fais suivre ça de beaucoup d’amour et de chance, elle ne touchera pas à la drogue et n’aura pas besoin d’y toucher. Mais si malheureusement, cela devait arriver, je saurais exactement quoi faire. »
L’envoyer en cure de désintox ? La couper de ses mauvaises fréquentations ? La sevrer ?
Non, Robbie Williams a prévu une méthode bien plus étonnante et relativement discutable. « En fait, je m’assurerais qu’elle ait accès aux meilleures drogues possibles et je les prendrais avec elle. », a-t-il déclaré. Radical.
Dans la même interview, il en profite pour révéler qu’un des meilleurs amis de sa fille est le fils de la chanteuse Adele, le petit Angelo. « Son fils et ma fille se retrouvent très souvent pour jouer. Little peanut (le surnom d’Angelo) est dans la liste des prétendants potentiels de Teddy ». On imagine qu’il leur a déjà fait un cours sur la contraception...