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Les éditoriaux des quotidiens publiés mardi se sont concentrés notamment sur les élections communales et régionales du 4 septembre et le discours adopté par le chef du gouvernement après la proclamation des résultats de cette échéance.
Commentant le scrutin du 4 septembre, Rissalate Al Oumma indique que cette étape constitue un acquis historique pour le Maroc et les Marocains, abstraction faite de la concurrence acharnée, des batailles politiques et des débats engagés entre les partis dans les médias.
Cet acquis traduit clairement une nouvelle volonté chez le citoyen de participer à construire le pays, d'aller de l'avant sur la voie démocratique, de ne pas céder le terrain aux personnes corrompues et de construire un Maroc démocratique, fort par ses institutions et immunisé contre la culture de la violence et de l'extrémisme, précise l'éditorialiste, soulignant la nécessité d'assimiler cette leçon démocratique et d'en tirer les enseignements afin de "consolider les piliers de notre démocratie et de rehausser notre modèle marocain".
Al Ittihad Al Ichtiraki critique le discours adopté par le chef du gouvernement à l'issue des élections du 4 septembre, notant que M. Benkirane s'est contenté de mettre en avant le succès de son parti, le considérant comme un succès du Maroc.
Selon l'éditorialiste, la conduite politique et médiatique du chef du gouvernement n'est pas adaptée à sa responsabilité politique et administrative à l'égard des élections.
Commentant le scrutin du 4 septembre, Rissalate Al Oumma indique que cette étape constitue un acquis historique pour le Maroc et les Marocains, abstraction faite de la concurrence acharnée, des batailles politiques et des débats engagés entre les partis dans les médias.
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Al Ittihad Al Ichtiraki critique le discours adopté par le chef du gouvernement à l'issue des élections du 4 septembre, notant que M. Benkirane s'est contenté de mettre en avant le succès de son parti, le considérant comme un succès du Maroc.
Selon l'éditorialiste, la conduite politique et médiatique du chef du gouvernement n'est pas adaptée à sa responsabilité politique et administrative à l'égard des élections.
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