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Al Ittihad Al Ichtiraki souligne que "le champ politique national demeure émaillé par certaines pratiques lui enlevant sa noblesse". D'après la carte politique qui s'est dessinée après l'élection des présidents des conseils des régions, il semble que les partis, voire les candidats ne s'intéressent qu'à l'aspect quantitatif du corps électoral sans se soucier de concourir à sa formation ou consolider sa liberté de choix, relève l'éditorialiste.
De même, le processus électoral, qui a débuté par les élections professionnelles dans les secteurs public et privé, a révélé des mutations sociétales ayant des prolongements dans les structures des partis et des syndicats. Ainsi l'élément humain composant ces institutions privilégie ses propres intérêts, considérant l'organisation politique ou syndicale à laquelle il appartient comme un tremplin pour améliorer sa situation matérielle, note-t-il. Les élections des présidents des régions deviennent un marché d'offre et de demande à travers lequel certains candidats obtiennent la présidence de ces instances bien que leurs partis n'aient pas obtenu un grand nombre de suffrages, ajoute-t-il.
L'Economiste indique que le Haut-Commissariat au plan est en campagne pour réaliser sa grande enquête sur les structures économiques du Maroc "Entreprises 2015". "On ne soulignera jamais assez l'importance stratégique de ce recensement. Les entreprises doivent absolument faire l'effort de répondre avec le plus de soin possible", note l'éditorialiste, soulignant que par deux fois les chiffres des enquêtes se sont dérobés. "D'abord avec le recensement de 2014. Pas loin d'un milliard de DH a été investi mais, à ce jour, nous n'avons eu que de maigres données", relève-t-il. "Et ne parlons pas de la bévue de la décennie consistant à publier des données régionales de 2013 (sic!) trois jours après les élections...régionales!", ajoute-t-il.