-
SM le Roi félicite M. Mark Rutte suite à sa nomination au poste de Secrétaire général de l’OTAN
-
Le rapport de Guterres met à mal les séparatistes et leurs commanditaires
-
Décision de la CJUE L’UE et les pays membres expriment leur attachement indéfectible au partenariat stratégique avec le Maroc
-
La politique de l'eau au Maroc: Défis et choix
-
Filomena Mascarenhas Tipote : Le Maroc a soutenu la Guinée-Bissau dès le début de sa lutte pour l’indépendance
Bayane Al Yaoum aborde l'utilisation par les partis politiques des réseaux sociaux pour leurs campagnes électorales. Bien qu'il traduise un changement au niveau de la conduite électorale dans notre pays, ce combat virtuel ardent n'aurait pas une influence majeure sur les intentions de vote, les sites web produisant peu d'effet sur la vie réelle des Marocains, malgré une hausse sensible du nombre d'internautes, indique l'éditorialiste.
Il appelle les partis politiques à bénéficier de cet exercice de communication technologique durant cette période des élections et de s'employer de manière professionnelle et sérieuse, aussitôt après le scrutin, à consolider une présence politique et interactive permanente via Internet et à renforcer leur plateforme communicationnelle afin de participer assidument à l'encadrement des jeunes et des internautes.
L'Economiste souligne qu'il y a un gros souci, caché derrière les urnes des élections locales et régionales: les compétences humaines. Le Maroc en souffre au point de voir ses perspectives de développement réduites, estime l'éditorialiste, notant que cette dramatique pénurie humaine, qui vaut pour les entreprises et pour le recrutement de l'Etat central, pèse encore plus fort pour les administrations locales.
"La décentralisation, qui a retiré une grande partie de leur autorité aux représentants de l'Etat central, n'a pas souvent trouvé sur place des administrateurs et fonctionnaires capables d'assurer le relais", juge-t-il.
Al Ittihad Al Ichtiraki indique que le projet de la régionalisation avancée, que va inaugurer le Maroc avec les élections du 4 septembre 2015, constitue un acte fondateur du nouveau Maroc.
L'importance d'une telle démarche est censée réaliser un développement spatial équitable entre les différentes régions du Royaume en fonction des moyens et des richesses de chaque région, relève l'éditorialiste, faisant savoir que ce chantier va certainement permettre de créer de nouveaux pôles économiques et un développement équilibré entre le nord, le sud, l'est et l'ouest.
Ce projet a pour finalité de servir le citoyen marocain là où il se trouve, souligne-t-il, déplorant que les élites politiques marocaines engagées dans les élections n'aient pas conscience de l'intérêt majeur de ce projet et que le citoyen marocain n'ait pas été sensibilisé, à travers un débat public, à l'importance de son adhésion à travers son vote aux prochaines élections.