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Al Ittihad Al Ichtiraki souligne que l'encadrement politique des coalitions, construites en vue de la constitution des bureaux des conseils des régions ou des communes, a été moins fondé sur des alliances solides que sur des objectifs propres à chaque formation.
Au moment de choisir, les partenaires avaient rarement respecté les objectifs déclarés, note l'éditorialiste.
"Ce qui est arrivé prouve que l'identité politique de plusieurs partis est une identité situationnelle qui se construit en fonction de la situation devant laquelle ils se trouvent", relève-t-il, jugeant que l'identité de l'acteur politique "ne tient pas au-delà de la phase de la gestion".
Répliquant aux détracteurs du PPS, qui ont avancé que ce parti a essuyé une défaite cuisante lors du processus électoral, Bayane Al Yaoum estime que le parti du Livre a fait des progrès et veille à ce que ce progrès soit serein, bien calculé et tienne compte des principes et des convictions.
"Quoique, pour n'avoir pas déposé de candidature, le parti n'ait remporté aucune présidence de l'une des 12 régions, cela ne peut en aucune manière être qualifié de défaite ni de recul", explique-t-il.
En revanche, le PPS a été le seul parti qui est resté fidèle à ses coalitions, et ses élus ont pris une position commune dans toutes les régions et ont remporté un franc succès, car ils sont parvenus à accéder à plusieurs conseils locaux, soit en tant que présidents soit en tant que membres du Bureau du conseil, se félicite-t-il.
L'Economiste aborde, lui, la question de l'immigration en Europe. "En Europe, l'emballement politico-médiatique sur les migrants retombe. Entrouvertes quelques jours, le temps des prises de vue et interviews express, les frontières se referment. Encore une fois la communication a remplacé l'information et l'analyse. Les éléments du langage ont noyé la vérité", commente l'éditorialiste.
"Dans ce fracas, remarque-t-on par exemple que, rapporté au PIB par tête, le Maroc accueille deux fois plus de migrants que la France et l'Allemagne?" s'interroge-t-il.