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Ainsi, "le360.ma" revient sur un article publié par le journal français "Le Monde" et signé par Charlotte Bozonnet, selon lequel le scandale du chantage Eric Laurent-Catherine Graciet constitue "une aubaine pour le Maroc qui n'est obsédé que par son image à l'international"
Passant en revue les réformes démocratiques, sociales, économiques et sécuritaires engagées par le royaume, "le360.ma" affirme que Mme. Bozonnet "a décidé de jeter un regard suspicieux sur tout ce que nous construisons dans ce pays. Elle a décrété que toute bonne action est un leurre à seule fin de redorer l'image du pays".
"L'article est truffé de jugements à l'emporte-pièce et de raccourcis. Mme Bozonnet semble parler à un public acquis à l'image qu'elle se fait du Maroc. Elle a pour objectif d'inverser les rôles, en transformant la victime en bourreau. Celui qui subit le chantage n'est pas non seulement à plaindre, mais doit être montré du doigt pour l'impact dommageable de cette affaire", relève notamment "le360.ma".
Par ailleurs, "le360.ma" indique que le gouvernement a assuré jeudi qu'il restait fermement attaché à son projet du Service médical obligatoire (SMO) malgré le mouvement contestataire des élèves-médecins.
"Nous sommes ouverts au dialogue, mais nous ne ferons pas marche arrière sur cette réforme cruciale pour notre système de santé", a déclaré jeudi à "le360.ma" le porte-parole du gouvernement, Mustapha El Khalfi.
De même, "Goud.ma" rapporte "l'étonnement" du ministre de la santé, Houcine El Ouardi, qui a déclaré au journal arabophone que les manifestations des élèves médecins revêtent l'allure d'une affaire politisée, tout en soulignant que la porte du dialogue avec les élèves médecins demeure ouverte.
Quant à "Al Huffington Post Maroc", il propose une analyse des résultats des urnes du 4 septembre selon laquelle "seuls les jeux d'alliance conduisent à une victoire ou à une défaite". Ainsi, le journal relève l'existence d'une sorte de "clientélisme égalitaire" où les rapports entre partis, sont "flexibles, situationnels et, surtout, réversibles".
"Al Huffington Post Maroc" considère que cet état de fait "participe à brouiller les cartes, et à rendre peu lisibles les relations qui se tissent entre partis, du moins, si on les voit à travers le prisme des idéologies portées ou revendiquées par ces derniers".
"Hespress.com" revient sur la lecture du politologue Hassan Tariq, qui considère que les élections du 4 septembre ont "un impact politique considérable".
S'exprimant à l'occasion d'une conférence initiée par le Centre Hespress des études et des médias, M. Tariq a souligné le caractère intègre des élections communales et régionales, considérant qu'elles offrent le prélude de "la ressuscitation de la politique" au Maroc.
Quant à "Medias24.com", il s'attarde sur les élections du PAM en vue de décider du prochain leader du parti à l'horizon des échéances de 2016, rapportant l'appel du secrétaire général-adjoint Ilyas El Omari afin de "réunir un conseil national pour décider de la date d'organisation d'un congrès en déclarant qu'il était temps d'évaluer les résultats des dernières élections qui ont vu la perte des mairies de Tanger, Marrakech et Mohammedia".
Pour sa part, "Quid.ma" jette la lumière sur les 2,15 milliards de dirhams consacrés par le ministère de l'Education nationale et de la Formation professionnelle au financement des programmes s'inscrivant dans le cadre de l'aide sociale dédiée aux élèves, en particulier ceux issus de milieux défavorisés, et ce au titre de la rentrée scolaire 2015-2016.
Ainsi, une enveloppe de 341 millions de dirhams (MDH) sera affectée au financement de l'Initiative royale "Un million de cartables", tandis que 827 MDH seront alloués au financement du programme "Tayssir" des transferts monétaires conditionnels, outre 34 MDH consacrés au transport scolaire et quelque 948 MDH affectés aux restaurants scolaires et aux internats.
"Alyaoum24.com" relève que le Maroc a gagné 8 places dans l'indice publié jeudi par l'Organisation mondiale de la propriété intellectuelle (OMPI) et l'Université Cornell et l'Institut européen d'administration des affaires (INSEAD).
Classé 78ème sur 141 pays, le Maroc a obtenu un score moyen 33,19 points, ce qui lui permet de se positionner deuxième en Afrique du Nord derrière la Tunisie, rapporte le journal arabophone.
Quant à "Febrayer.com", il se penche sur le classement Forbes des 100 femmes d'affaires les plus puissantes du monde arabe en 2015, et dans lequel figurent six femmes marocaines.
Il s'agit de Rita Maria Zniber, PDG de Diana Holding, Laila Mamou, présidente du directoire de Wafasalaf, Salwa Idrissi Akhannouch, PDG du groupe Aksal, Hind Bouhia, PDG de Global Nexus, Miriem Bensalah-Chaqroun, PDG de la société "Les Eaux Minérales d'Oulmès" et Administrateur de Holmarcom Group, et de Saïda Lamrani, vice-présidente déléguée des Holdings Safari-Sofipar-Cofimar, précise le journal.
Quant au volet sportif, "Alayam24.com" s'attarde sur le transfert de l'international marocain Houssine Kharja au club roumain Steaua Bucarest. Ainsi, le capitaine des Lions de L'Atlas pourra être de retour à la sélection nationale dès le prochain match.