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Plusieurs sujets retiennent l'attention de la presse digitale de ce mardi, notamment l'élection des présidents des conseils des douze régions du Royaume et des présidents des conseils des villes, le plan gazier marocain et les violences faites aux enfants.
Ainsi, "Hespress.com" écrit que l'élection des présidents des conseils régionaux a dévoilé bien des surprises avec l'arrivée en tête du Parti authenticité et modernité (PAM) avec cinq régions sur les 12 régions du Royaume, même si le Parti de la justice et du développement (PJD) ait remporté le plus grand nombre de sièges aux conseils des régions, lors du scrutin du 04 septembre.
"Les résultats des élections des présidents des régions ont fait prévaloir une dominance du PAM, alors que le PJD n'a pu remporter que la présidence de deux régions, perdant, ainsi, le défi des régions de Casablanca et de Tanger", relève le portail, notant que le Rassemblement national des indépendants (RNI) semble tirer profit de la coalition gouvernementale.
Le journal électronique fait remarquer la dominance du Parti de l'Istiqlal dans les régions du sud du Royaume, alors que L'Union socialiste des forces populaires (USFP) n'a pu décrocher aucune région.
Sur le même registre, "Quid.ma" rapporte que l'élection des présidents des Conseils des régions s'est déroulée dans de bonnes conditions et dans un climat de transparence, citant un communiqué du ministère de l'Intérieur.
Le scrutin a eu lieu pour la première fois par voie de vote public conformément aux dispositions de l'article 8 de la loi organique relative aux régions, ce qui a permis à l'opération de se dérouler dans "un climat empreint de clarté et de transparence", détaille le site.
Le portail a rappelé que le PAM a remporté 5 présidences de conseil de région, le PI et le PJD et le RNI ont obtenu chacun deux présidences de région, alors que le Mouvement populaire a remporté la présidence du conseil d'une seule région.
Son confrère, "Alayam24.com" consacre ses titres aux élections des présidents des conseils des villes, dont les résultats viennent d'être dévoilés.
Le portail a ainsi énuméré les nouveaux maires des grandes villes et métropoles, en l'occurrence Mohamed Bachir Abdellaoui (président du Conseil de la commune urbaine de Tanger), Jamaâ Mouâtassim (président du conseil communal de la ville de Salé) et Saleh Mellouki (président de la commune urbaine de la ville d'Agadir).
Pour sa part, "Medias24.com" indique que 39 élus sur 65 se sont absentés de la réunion consacrée à l'élection du président du conseil communal d'Oujda. Faute de quorum, la réunion n'a pu se tenir.
Seuls 26 élus PJD se sont présentés. Le représentant du gouverneur d'Oujda n'avait d'autre possibilité que de faire lever la séance et d'annoncer une nouvelle convocation dans les quinze jours, rapporte le portail.
"Goud.ma" et "Febrayer.com" s'intéressent à l'élection du président du Conseil de la ville de Fès et rapportent que Idriss Azami Al-Idrissi, du PJD a été élu à la tête de ce Conseil en obtenant 94 voix, notant que le PI a réaffirmé son soutien à la nouvelle équipe du conseil communal.
Lors des élections communales et régionales du 4 septembre, le PJD avait remporté 72 sièges sur les 97 que compte le Conseil de la ville de Fès, rappelle le journal électronique arabophone.
Sous le titre "Plan gazier: l'ONEE lance le premier appel d'offres", "le360.ma" écrit que l'Office national de l'électricité et de l'eau potable vient de lancer le premier appel d'offres dans le cadre du méga-programme de "gas to power".
Cet important plan gazier porte sur la réalisation d'un lot de cinq grosses infrastructures gazières et électriques. Ces centrales devraient totaliser une puissance totale de près de 2.400 MW et seront approvisionnées à partir du futur terminal GNL de Jorf Lasfar, rappelle le journal électronique.
Pour réaliser ces infrastructures gazières et électriques, l'ONEE table sur des investissements de l'ordre de 4,6 milliards de dollars. Une manne financière colossale qui attise les convoitises des géants du secteur qui se sont positionnés. Parmi eux, figure le français GDF qui a l'avantage d'être présent sur toute la chaîne de valeur de la filière gazière.
Sur un autre registre, "Al Huffington post Maroc" braque les projecteurs sur les chiffres alarmants des violences faites aux enfants et note que 7.000 appels sont reçus mensuellement par le Centre national d'écoute et de protection des enfants contre la violence, provenant d'enfants victimes ou de proches alertés par la situation.
Pour les victimes, le Centre d'écoute qui relève de l'Observatoire national des droits de l'enfant (ONDE) offre une prise en charge médicale, psychologique et juridique, fait savoir le portail.
"Lorsqu'un enfant appelle le numéro vert, il entre en contact avec des assistantes sociales. Un processus de médiation est alors lancé. La victime est prise en charge médicalement mais aussi au niveau judiciaire", explique le site.
Par ailleurs, "Alyaoum24.com" indique que le taux de participation des femmes dans la vie active au Maroc est de 27 pc, selon un rapport de la Banque mondiale.
Sur le plan administratif, le Royaume figure parmi les pays ayant des quotas réservés aux femmes au sein du parlement (15 pc) et dans les gouvernements locaux (33 pc), précise le rapport. MM--
Ainsi, "Hespress.com" écrit que l'élection des présidents des conseils régionaux a dévoilé bien des surprises avec l'arrivée en tête du Parti authenticité et modernité (PAM) avec cinq régions sur les 12 régions du Royaume, même si le Parti de la justice et du développement (PJD) ait remporté le plus grand nombre de sièges aux conseils des régions, lors du scrutin du 04 septembre.
"Les résultats des élections des présidents des régions ont fait prévaloir une dominance du PAM, alors que le PJD n'a pu remporter que la présidence de deux régions, perdant, ainsi, le défi des régions de Casablanca et de Tanger", relève le portail, notant que le Rassemblement national des indépendants (RNI) semble tirer profit de la coalition gouvernementale.
Le journal électronique fait remarquer la dominance du Parti de l'Istiqlal dans les régions du sud du Royaume, alors que L'Union socialiste des forces populaires (USFP) n'a pu décrocher aucune région.
Sur le même registre, "Quid.ma" rapporte que l'élection des présidents des Conseils des régions s'est déroulée dans de bonnes conditions et dans un climat de transparence, citant un communiqué du ministère de l'Intérieur.
Le scrutin a eu lieu pour la première fois par voie de vote public conformément aux dispositions de l'article 8 de la loi organique relative aux régions, ce qui a permis à l'opération de se dérouler dans "un climat empreint de clarté et de transparence", détaille le site.
Le portail a rappelé que le PAM a remporté 5 présidences de conseil de région, le PI et le PJD et le RNI ont obtenu chacun deux présidences de région, alors que le Mouvement populaire a remporté la présidence du conseil d'une seule région.
Son confrère, "Alayam24.com" consacre ses titres aux élections des présidents des conseils des villes, dont les résultats viennent d'être dévoilés.
Le portail a ainsi énuméré les nouveaux maires des grandes villes et métropoles, en l'occurrence Mohamed Bachir Abdellaoui (président du Conseil de la commune urbaine de Tanger), Jamaâ Mouâtassim (président du conseil communal de la ville de Salé) et Saleh Mellouki (président de la commune urbaine de la ville d'Agadir).
Pour sa part, "Medias24.com" indique que 39 élus sur 65 se sont absentés de la réunion consacrée à l'élection du président du conseil communal d'Oujda. Faute de quorum, la réunion n'a pu se tenir.
Seuls 26 élus PJD se sont présentés. Le représentant du gouverneur d'Oujda n'avait d'autre possibilité que de faire lever la séance et d'annoncer une nouvelle convocation dans les quinze jours, rapporte le portail.
"Goud.ma" et "Febrayer.com" s'intéressent à l'élection du président du Conseil de la ville de Fès et rapportent que Idriss Azami Al-Idrissi, du PJD a été élu à la tête de ce Conseil en obtenant 94 voix, notant que le PI a réaffirmé son soutien à la nouvelle équipe du conseil communal.
Lors des élections communales et régionales du 4 septembre, le PJD avait remporté 72 sièges sur les 97 que compte le Conseil de la ville de Fès, rappelle le journal électronique arabophone.
Sous le titre "Plan gazier: l'ONEE lance le premier appel d'offres", "le360.ma" écrit que l'Office national de l'électricité et de l'eau potable vient de lancer le premier appel d'offres dans le cadre du méga-programme de "gas to power".
Cet important plan gazier porte sur la réalisation d'un lot de cinq grosses infrastructures gazières et électriques. Ces centrales devraient totaliser une puissance totale de près de 2.400 MW et seront approvisionnées à partir du futur terminal GNL de Jorf Lasfar, rappelle le journal électronique.
Pour réaliser ces infrastructures gazières et électriques, l'ONEE table sur des investissements de l'ordre de 4,6 milliards de dollars. Une manne financière colossale qui attise les convoitises des géants du secteur qui se sont positionnés. Parmi eux, figure le français GDF qui a l'avantage d'être présent sur toute la chaîne de valeur de la filière gazière.
Sur un autre registre, "Al Huffington post Maroc" braque les projecteurs sur les chiffres alarmants des violences faites aux enfants et note que 7.000 appels sont reçus mensuellement par le Centre national d'écoute et de protection des enfants contre la violence, provenant d'enfants victimes ou de proches alertés par la situation.
Pour les victimes, le Centre d'écoute qui relève de l'Observatoire national des droits de l'enfant (ONDE) offre une prise en charge médicale, psychologique et juridique, fait savoir le portail.
"Lorsqu'un enfant appelle le numéro vert, il entre en contact avec des assistantes sociales. Un processus de médiation est alors lancé. La victime est prise en charge médicalement mais aussi au niveau judiciaire", explique le site.
Par ailleurs, "Alyaoum24.com" indique que le taux de participation des femmes dans la vie active au Maroc est de 27 pc, selon un rapport de la Banque mondiale.
Sur le plan administratif, le Royaume figure parmi les pays ayant des quotas réservés aux femmes au sein du parlement (15 pc) et dans les gouvernements locaux (33 pc), précise le rapport. MM--
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