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Al Ittihad Al Ichtiraki souligne que la question de la généralisation de l'enseignement préscolaire, une recommandation fondamentale depuis la mise en place de la Charte nationale de l'éducation et de la formation et un point focal du rapport du Conseil supérieur de l'enseignement de 2008, représente un véritable test pour les prochaines collectivités territoriales, notant que ces dernières devront traduire cette question en un programme effectif qui résoudra le problème.
Akhbar Al Yaoum estime que par leurs votes lors du scrutin du 4 septembre, les électeurs ont envoyé quatre messages fondamentaux. Le premier indique que 15 millions de personnes sont inscrites sur les listes électorales, un chiffre record jamais atteint au Maroc, et que les autres personnes qui s'abstiennent encore de s'inscrire ont besoin de mesures incitatives pour qu'elles participent.
Le deuxième message est que les partis de l'opposition, en l'occurrence l'USFP, l'Istiqlal et le PAM, ont perdu les grandes villes. Le troisième est que l'électorat a voté en faveur du PJD dans les grandes villes et que l'aboutissement de la gestion de ces villes exige des projets ambitieux, une proximité permanente des gens, une grande capacité à résoudre les problèmes et un effort constant à déployer pour modifier les modes de gestion et diminuer le sureffectif des fonctionnaires qui grève les budgets des villes, explique l'éditorialiste.
Le quatrième message, adressé à l'élite politique, veut dire que le scrutin du 4 septembre a régénéré le vote politique. Ainsi, le vote devient désormais une arme pour récompenser ou sanctionner, ajoute-t-il.
L'Economiste juge que le processus d'élaboration de la prochaine loi de finances "est en retard, très en retard". L'éditorialiste relève que pour une fois, la négligence du temps "pourrait être utile", car "on pourra, par exemple, inclure dans le projet de texte le désarmement des niches fiscales et le démarrage d'un peu de justice fiscale".
"C'est le moment ou jamais de lancer ces deux stratégies fiscales, promouvoir la justice et abattre les régimes de faveurs", affirme-t-il, notant que chaque année, la Direction des impôts "calcule le prix des faveurs fiscales" et "donne son évaluation aux deux Chambres", mais celles-ci "n'en font rien".