-
Les bidasses d'Alger accouchent d'une ânerie de trop: Le visa pour tout Marocain désireux de se gargariser de "l'Eldorado" algérien
-
Partenariat Maroc-ONUCT. Un engagement continu pour la sécurité et la stabilité en Afrique
-
Le PM palestinien salue les efforts soutenus de Sa Majesté le Roi en faveur de la cause palestinienne
-
Mise en avant à New York de la vision de SM le Roi pour le développement de la coopération Sud-Sud
-
Le CSEFRS publie son rapport annuel au titre de l'année 2023
Réunion décisive demain entre les syndicats et le gouvernementLes deux parties se sont rencontrées vendredi sans réaliser d’avancées Mourad Tabet
Lundi 28 Avril 2014
Autres articles
Le deuxième round du dialogue social tenu vendredi dernier entre les trois centrales syndicales, la Fédération démocratique du travail (FDT), l’Union marocaine du travail (UMT) et la Confédération démocratique du travail (CDT) et le gouvernement n’a pas apporté grand-chose. Selon le secrétaire général de la FDT, Abderrahman Azzouzi, les deux parties se sont mises d’accord pour se réunir demain mardi à Rabat, soit un jour avant la célébration de la Fête du travail. Lors du premier round tenu le 15 de ce mois, les trois syndicats avaient sommé le gouvernement de leur soumettre ses propositions avant le 1er Mai afin qu’elles puissent les présenter à leurs adhérents et à l’ensemble de la classe ouvrière lors de cette fête internationale. Abderrahman Azzouzi demande à ce propos à l’Exécutif d’apporter des réponses concrètes et sérieuses à l’ensemble des revendications contenues dans le mémorandum que les trois centrales syndicales avaient adressé au chef du gouvernement en février dernier, ajoutant que ce dernier a proposé, lors de la réunion du vendredi dernier, d’augmenter le traitement minimal des fonctionnaires pour qu’il atteigne les 3000 DH. Il a promis également d’augmenter le salaire minimum interprofessionnel garanti (SMIG), mais sans préciser le montant de cette augmentation, a précisé notre source. Les trois centrales syndicales estiment qu’un SMIG permettant à l’ouvrier de vivre dignement devrait être de 3000 DH. D’ailleurs, le PJD, parti du chef du gouvernement, avait lui-même proposé cette mesure lors de sa campagne électorale pour les législatives de 2011. Pour cette raison, les syndicats espèrent voir Abdelilah Benkirane tenir cette promesse. Pour rappel, les relations entre les centrales syndicales et le gouvernement ont été marquées, depuis lors, par des tensions à cause du refus catégorique de l’Exécutif d’appliquer le reliquat de l’accord de 2011 et d’ouvrir le dialogue social avec ces centrales. Mais lorsque l’UMT, la CDT et la FDT ont décidé de fédérer leur action et d’intensifier leur lutte contre la politique antisociale de l’Exécutif, (Mémorandum commun adressé au chef du gouvernement en février dernier, marche de la dignité au début de ce mois), celui-ci a dû se mettre autour de la table avec eux pour examiner leurs revendications. Lu 1075 fois
Nouveau commentaire :
Dans la même rubrique :
Dossiers du weekend | Actualité | Spécial élections | Les cancres de la campagne | Libé + Eté | Spécial Eté | Rétrospective 2010 | Monde | Société | Régions | Horizons | Economie | Culture | Sport | Ecume du jour | Entretien | Archives | Vidéo | Expresso | En toute Libé | USFP | People | Editorial | Post Scriptum | Billet | Rebonds | Vu d'ici | Scalpel | Chronique littéraire | Chronique | Portrait | Au jour le jour | Edito | Sur le vif | RETROSPECTIVE 2020 | RETROSPECTIVE ECO 2020 | RETROSPECTIVE USFP 2020 | RETROSPECTIVE SPORT 2020 | RETROSPECTIVE CULTURE 2020 | RETROSPECTIVE SOCIETE 2020 | RETROSPECTIVE MONDE 2020 | Videos USFP | Economie_Zoom | Economie_Automobile | TVLibe |
|
||||
|