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Ces saisies représentent environ la moitié de la quantité saisie en 2016, soit 481.646 comprimés d'ecstasy, indique un communiqué de la DGSN, ajoutant que les services de la sûreté nationale ont procédé, dans le cadre de la lutte contre ce type de drogues, à l'arrestation de 57 individus impliqués dans 35 affaires de trafic international d'ecstasy, tandis que durant l'année précédente, 240 suspects ont été arrêtés dans 146 affaires.
Selon la DGSN, cette hausse du nombre de saisies de l'ecstasy s'explique par l'intensification et le renforcement de la surveillance et du contrôle au niveau des postes frontaliers, le dressage des chiens policiers pour détecter ce genre d'amphétamines et l'exploitation des données et des informations précises fournies par les services de la DGSN pour le contrôle du territoire national concernant les réseaux criminels qui s'adonnent à ce type de trafic.
L'expertise scientifique, les investigations et les enquête menées ont révélé que l’ecstasy, étant une drogue synthétique composée de produits chimiques, est fabriquée dans des laboratoires clandestins dans certains pays européens avant d’être acheminée vers d'autres pays dont le Maroc à travers des postes frontaliers au nord et à l’est du Royaume, précise la même source.
Et d’ajouter que les services de la DGSN ont renforcé les mesures de contrôle sécuritaire pour lutter contre le trafic de l’ecstasy en provenance de l'étranger et intensifié leurs interventions et les opérations sur le terrain en vue de démanteler les réseaux criminels spécialisés dans le trafic de ce genre de drogue, et ce en étroite collaboration avec les différents services chargés de l'application de la loi et en parfaite coordination avec l’organisation internationale de police criminelle (Interpol).