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Quelques mois plus tard, ne parvenant pas à avoir une interview de la maire du septième arrondissement de Paris, Elise Lucet s’est rendue au Parlement européen, et est parvenue à approcher Rachida Dati, (entourée de vigiles), l’occasion de lui poser quelques questions sur cette supposée affaire de conflits d’intérêts. Elise Lucet s’approche d’elle et lui demande : "Vous êtes élue, vous devez défendre l’intérêt général, on se demande si vous défendez des intérêts privés. C’est juste une interview, je ne vois pas ce qui vous fait peur". Cette question déplaît fortement à la députée européenne qui s’emporte : "Je n’ai pas peur de vous ma pauvre fille. Ma pauvre fille. Non mais quand je vois votre carrière, votre carrière pathétique…", parlant même "d’accusations à la con".
Après les révélations des Echos en 2014 et la vidéo dévoilée par France Télévisions, Rachida Dati est revenue sur cette affaire, samedi dernier, au micro d’Europe 1. L’ex-Garde des Sceaux a déclaré : "Si je n’ai pas envie de répondre à quelqu’un dont les méthodes sont scandaleuses, je n’y réponds pas. Je ne regrette rien. Faire du teasing avec des montages douteux pour attirer des téléspectateurs sur une émission qui ne révèle rien et n’a aucun intérêt". Rachida Dati en rajoute même une couche à quelques heures de la diffusion de ce numéro de Cash Investigation : "Elise Lucet ne révèle jamais rien. Elle s’est muée en grande pasionaria mais bon... L'investigation ce n'est pas le harcèlement et les accusations", avant d’ajouter : "J’ai été très véhémente avec elle mais quand vous vous faites harceler… C’est très grave de porter des accusations sans preuves".