-
Annulation des accords Maroc-UE: Dépassée et sans impact la décision de la CJUE
-
L’USFP réitère sa position constante de soutien au droit du peuple palestinien à l’établissement de son Etat indépendant et appelle à la protection de l’intégrité territoriale du Liban
-
Le chef du gouvernement représente SM le Roi au XIXème Sommet de la Francophonie
-
Le Groupe des amis du multilatéralisme se réunit à Stockholm pour repenser l'avenir de la coopération internationale
-
Ahmed Lahlimi Alami fait le point sur le RGPH 2024
Répondant à une question à la Chambre des représentants sur le régime d'assistance médicale, le ministre a souligné que ce plan d'accompagnement du RAMED vise à doter chaque Centre hospitalier régional d'un appareil d'imagerie par résonance magnétique (IRM) et chaque hôpital provincial d'un scanner, tout en mettant l'accent sur l'augmentation de la capacité d'accueil et des postes budgétaires des hôpitaux publics. Il s'agit également de mettre en adéquation l'offre de soins avec l'évolution de la carte de santé et de promouvoir un meilleur équilibre entre les zones urbaines et rurales afin d'assurer les prestations de santé à tous les citoyens.
Le RAMED a permis d'élargir l'éventail de la couverture médicale à travers le ciblage des catégories vivant dans la pauvreté, a expliqué le ministre, notant que jusqu’à fin septembre dernier, plus de 12 millions de bénéficiaires représentant environ 5 millions de ménages ont été enregistrés alors que plus de 8 millions de bénéficiaires sont porteurs de la carte RAMED.
En dépit des contraintes financières auxquelles se heurte le régime sur les plans de la performance et de la rentabilité, le bilan des prestations fournies aux bénéficiaires depuis sa généralisation en 2012 s'est amélioré de manière significative, a-t-il fait observer.
Selon le rapport annuel consacré au bilan des activités au titre du RAMED élaboré par l'Agence nationale de l’assurance maladie (ANAM) en 2018, plus de 20 millions de prestations médicales ont été offertes par les hôpitaux publics et les centres hospitaliers universitaires, y compris des opérations chirurgicales comme la transplantation d’organes ou l'implantation de valves cardiaques, qui figurent parmi les services pris en charge désormais gratuitement.