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Celui neutralisé dans le Détroit à Tanger, un Marocain présumé être le cerveau de ce groupe, est un activiste et partisan de l’E.I, qui a généré plus de 300 profils sur les réseaux sociaux. Il élaborait des dossiers qu’il utilisait pour radicaliser des internautes. Il prenait plusieurs mesures de précaution qui empêchaient de dévoiler sa véritable identité, ainsi que des mots-clés et des logos qui permettaient à ses milliers de followers de le suivre sur les différents comptes piratés. Très actif sur le Net, il diffusait du matériel « très violent », téléchargé ensuite par les futurs jihadistes. Recherché par les autorités de plusieurs pays, l’individu était considéré comme "très dangereux" selon le ministère de l'Intérieur espagnol et fait déjà figure de ‘’grosse prise’’.
La personne arrêtée à Madrid serait un espagnol, d’origine marocaine résidant dans la banlieue de Madrid dans la municipalité de Parla. Naturalisé espagnol, le terroriste est âgé de 44 ans. Il publiait ouvertement des contenus sur les réseaux sociaux et était à la recherche de complices pour perpétrer un attentat terroriste. D’après la police espagnole, la personne arrêtée « représentait un risque réel » et se trouvait dans « un état avancé de radicalisation, au point de tenter de recruter des complices en vue de commettre des attentats ».
Quant à ceux arrêtés à Figueras en région de Girona en Catalogne, il s’agirait de frères, tous deux Marocains âgés d’une trentaine d’années. Disciples, semble-t-il, du terroriste arrêté à Tanger, ils agissaient également sur les réseaux sociaux, en piratant des comptes, pour publier des contenus à leur place et faire l’apologie du jihadisme. Ils incitaient les victimes appâtées à mener des opérations terroristes dans les zones hors contrôle de l’organisation terroriste. Ils sont en outre formellement impliqués dans la captation et l’embrigadement de volontaires pour le jihad dans les rangs de Daech. Tout ce beau monde sera poursuivi pour appartenance au groupe terroriste Daech.