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L'artiste était devenu en 2012 une star planétaire avec "Gangnam Style", un titre au style volontairement outrancier mettant en scène la désormais populaire danse du cheval, qui parodiait la vie des riches oisifs d'un quartier chic de Séoul.
Le clip de cette chanson, qui se voulait l'antithèse de la K-pop -la pop sud-coréenne connue pour ses "boys band" lisses et ses ritournelles sentimentales- a été vu plus de 2,4 milliards de fois sur YouTube.
Les deux singles qu'il a sortis depuis -"Gentleman" en avril 2013 puis "Hangover" en juin 2014 en collaboration avec le rappeur américain Snoop Dogg- sont loin d'avoir connu le même succès.
YG Entertainment, l'agent du chanteur de 37 ans, a annoncé mardi la sortie le 1er décembre d'un nouvel album, le septième de sa carrière et le premier depuis juillet 2012.
"En fin d'année dernière, Psy avait indiqué qu'il souhaitait revenir à ses racines avec un nouvel album et l'attente est forte", a indiqué l'agent dans un communiqué.
Avant que "Gangnam Style" ne conquière le monde, Psy était déjà un artiste à succès en Corée du Sud connu pour ses textes provocateurs, son humour satirique et ses performances scéniques décalées -et souvent alcoolisées- qui tranchaient dans une société sud-coréenne très normative.
Mais pour certains de ses fans, Psy a un peu perdu son âme avec une célébrité qui lui a permis de frayer avec les grands de ce monde, des chefs d'Etats aux grands patrons.
Le chanteur lui-même a parfois montré des signes de lassitude, au point de limiter ses sorties publiques au cours de l'année écoulée. Une retraite relative dont il aura profité pour préparer son septième album.