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Organisée par le comité régional de l'Initiative nationale pour le développement humain (INDH) de la ville, en partenariat avec l'Agence du développement social (ADS) et la Faculté des sciences juridiques économiques et sociales de Salé (FSJES), cette session de formation ambitionne de renforcer les capacités des différents dispositifs de la gouvernance locale de la préfecture, en l'occurrence le tissu associatif, élément essentiel du développement local.
Le programme, qui a profité à des acteurs associatifs, des représentants des comités locaux et des membres des groupes d'animation des quartiers, s'est articulé autour de trois ateliers portant sur les différentes approches du développement spatial et sur la gestion financière et juridique.
Dans une déclaration à la MAP, le président du forum de la créativité et la citoyenneté a indiqué que les ateliers ont constitué une opportunité pour un échange d'expériences sur l'approche genre et l'approche participative, à travers l'étude de quelques cas de la société marocaine et étrangère.
Le programme de formation a été particulièrement axé sur la réglementation juridique de la société civile, à savoir le Dahir de 1958, qui a été modifié en 1973 et puis en 2002, ainsi que les nouveaux rôles consentis par la Constitution de 2011 au profit de la société civile, a précisé un professeur universitaire à la FSJES, appelant à adapter la loi réglementant les associations conformément aux nouvelles dispositions de la Constitution.
Une pléiade de professeurs universitaires ont animé cette session de formation, organisée à l'espace socioculturel et pédagogique de Bettana.