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Pour autant, on n’en a pas encore fini avec l’épidémie désormais au centre d’une polémique naissante autour notamment de sa gestion. De plus en plus de voix s’élèvent à travers le monde pour demander des comptes aux spécialistes et à leurs gouvernements respectifs sur ce que d’aucuns appellent déjà une «pandémigate».
Polémique relayée par la presse et dont on peut mesurer l’intensité à travers les nombreuses interrogations adressées aux institutions incriminées.
A-t-on exagéré la menace de la grippe en la qualifiant de “pandémie” ? Les gouvernements ont-ils agi sous la pression des laboratoires pharmaceutiques ? Peut-on aujourd’hui parler de “fausses pandémies pour la santé” ? La gravité du virus n’aurait-elle été qu’un leurre ?
Des questions à la fois graves et pertinentes qui laissent présager de longs débats dans les mois à venir. Et soutenues par un constat déconcertant : l’épidémie de la grippe A n’a finalement pas la virulence annoncée. Mieux, au fil des mois, elle s’est révélée moins dangereuse que prévu, causant moins de victimes et de dégâts économiques et sociaux.
Les incertitudes de la science, les errements de spécialistes face à la grippe A et les conséquences qui en ont découlé, n’ont eu pour effet que d’engendrer une pandémie psychique des populations et actionner le levier de la peur, soutient-on désormais. Notamment en Angleterre et en France où les gouvernements sont accusés d’avoir surestimé les dangers de la grippe A au point de prendre des dispositions qui vont s’avérer coûteuses.
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