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La simulation part du principe du maintien de la discipline budgétaire implicite, correspondant à un déficit de 3 % du PIB, et retient des hypothèses de croissance du PIB proche de 5 % pour la période d'analyse et l'absence de recettes de privatisation à partir de l'année 2014, lit-on dans le rapport annuel de la Banque centrale au titre de 2009.
L'évolution des dépenses devrait être inférieure à la tendance de long terme, tandis que l'hypothèse retenue pour les recettes est celle d'un niveau par rapport au PIB supérieur de 0,6 point du PIB à celui de long terme (dix dernières années).
L'évaluation de la soutenabilité est effectuée ainsi sur la base de l'ajustement budgétaire, estimé par la différence entre le solde primaire effectif et le solde primaire stabilisateur de la dette, ainsi que sur la tendance d'évolution du ratio de la dette par rapport au PIB, précise-t-on de même source.
Les résultats de la simulation laissent apparaître une légère augmentation du ratio de la dette par rapport au PIB, suivie d'une légère correction à partir de 2012. Le ratio de la dette du Trésor en points de PIB devrait ainsi revenir de 46,9 % en 2009 à 46,5 % en 2019.
Le solde primaire moyen nécessaire à la stabilisation de la dette par rapport au PIB à son niveau de 2009 est de -0,44 %.
L'écart entre ce solde stabilisateur de la dette et le solde primaire issu des projections affiche une valeur moyenne de 0,54 %, laissant indiquer que la dette du Trésor resterait soutenable sur la période de projection, compte tenu des hypothèses retenues, conclut l'Institut d'émission.