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“Cela me paraît scandaleux. Il est absurde de considérer comme un geste politique le fait de porter un coquelicot en souvenir de ceux qui ont donné leur vie pour notre liberté”, a-t-il déclaré.
“J’espère que la Fifa réexaminera” cette décision, a-t-il ajouté.
Le secrétaire d’Etat britannique chargé des Sports Hugh Robertson avait écrit à la Fédération internationale de football afin d’appuyer les demandes des fédérations anglaise et galloise de permettre aux joueurs de porter ces “poppies” (coquelicots) lors des matches amicaux respectivement contre l’Espagne et la Norvège, samedi, au lendemain du 11 novembre qui marque la fin de la guerre 1914-18.
Mais la Fifa a rejeté mardi cette demande au motif que cela “ouvrirait la porte à d’autres initiatives partout dans le monde” et mettrait “en danger la neutralité du football”.
Le règlement de la Fédération internationale indique que l’équipement des joueurs ne doit comporter aucun message à caractère politique, religieux ou commercial.
Le coquelicot, qui a poussé sur les champs de bataille dans les Flandres pendant la Première guerre mondiale, est un symbole du souvenir des victimes de la Grande guerre. Il est traditionnellement porté à la boutonnière dans de nombreux pays du Commonwealth au mois de novembre, pour commémorer ce conflit et les suivants.
“Porter un coquelicot est un acte de grand respect et de fierté nationale”, a fait valoir le Premier ministre.