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Ceci dit, rien ne change dans l’état des lieux. Ces personnes, femmes et hommes, dont certains n’ont aucune source de revenu, sont connues par leur mode de vie ostentatoire. Leurs dépenses dépassent largement celles de leurs voisins et des autres habitants de la ville. La question est dès lors légitime. Qui finance ce groupe de séparatistes? Nous ne parlons pas des séjours à l’étranger. Certains «mécènes» toujours imprégnés d’idéologie haineuse contre un pays dont ils ne connaissent que le passé, se chargent des Tamek, Dadach, Soltana, Aminatou… Mais, là où le bât blesse, c’est quand ils mènent le même train de vie à Laâyoune et Smara, Casablanca ou encore à Las Palmas. Pour l’histoire, les actes de vandalisme, de propagande et de violence ont toujours été bien monnayés. Le Polisario en est grandement conscient. Lui-même, il en tire profit.