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SM le Roi félicite les Présidents de Corée, d’Irak et d’Allemagne à l'occasion des fêtes nationales de leurs pays
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Le Groupe socialiste-Opposition ittihadie à la Chambre des représentants interpelle le gouvernement au sujet du plan préconisé pour le renforcement de l’Etat social
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Pour le think tank britannique, MENAF: Le plan d’autonomie représente la proposition "la plus crédible et la plus largement approuvée"
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En application des Hautes Instructions Royales, des aides financières aux familles pour réhabiliter les habitations sinistrées
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Revoir la date de début de l’année fiscale, renforcer le contrôle des finances publiques par le Parlement…
Nul besoin ici de pointer du doigt X ou Y mais on peut constater que le hooliganisme qui n’est pas essentiellement le fait de supporters d’un seul club mais pratiquement de tous ceux qui forment l’élite de ce bon vieux championnat, est un phénomène tendant à prendre chaque jour que Dieu fait, ici-bled, plus d’ampleur. Les évènements violents somme toute, d’une banalité devenue tout à fait coutumière dans nos rues dès lors que c’est jour de stade, doivent nous interpeller cette fois-ci très sérieusement. Basta la bricole!
On n’a que trop fait usage du colmatage des brèches à chaque fois que des jeunes délinquants d’un soir nous ont fait prendre conscience de la gravité du fléau. On a préféré mettre du côté des bobos, une maladie évidente et qu’on n’a jamais voulu voir venir. Il n’est pire aveugle… dit-on.
Les actes de violence perpétrés dans les différents quartiers de la métropole concernent essentiellement et pourquoi pas exclusivement, le football. En effet, ces actes ont été commis par des jeunes supporters de l’ASFAR et du Raja et s’il est navrant de constater qu’ils ont débordé dans la rue, c’est que tout simplement on a laissé faire.
Prévenir vaut mieux que guérir, dirait l’adage et pourtant, cette violence juvénile était tout à fait prévisible par tous car présente bien avant l’événement et donc d’une évidence pour le moins débordante. Longtemps avant le match, le branle-bas de combat, en cette ère où la communication est reine, était à portée de click, dans tous les réseaux sociaux et annonçait l’apocalypse. Qu’a-t-on fait ? Pas grand-chose si ce n’est la castagne. Entre Rabat et Casablanca, force est de constater le manque flagrant de coordination entre les autorités des deux villes pour enrayer le fait.
Ils sont, pourtant deux facteurs principaux bien apparents pouvant mettre fin à l’émergence de ce phénomène : football pour ne pas dire sport et jeunesse. On n’en blâmera donc pas que le ministre de l’Intérieur qui indique, ô solution extrême, l’arrestation de quelque 200 voyous, mais aussi, le principal concerné Mohamed Ouzzine sans en oublier le porte-parole du gouvernement et sa Communication Mustapha Khalfi, bien étrangement muet.
Mohamed Jaouad Kanabi