L'Institut du film de Doha a dévoilé le programme de la 12e édition du Festival du film Ajyal, qui se tiendra du 16 au 23 novembre sous le thème "Les moments qui nous façonnent", avec une sélection de 66 films provenant de 42 pays, dont le Maroc.
Cette sélection d'œuvres cinématographiques explore des thématiques émouvantes et inspirantes à travers des histoires de résilience, d’espoir et d'autonomisation des communautés, ont souligné les organisateurs, lundi, lors d'une conférence de presse.
Le festival propose, dans le cadre de l’année culturelle Qatar-Maroc 2024, le programme "Made in Morocco", qui offre un aperçu de la vie marocaine et de son paysage culturel en pleine évolution par le biais de six courts métrages explorant des sujets tels que les traditions, l'identité et le changement social.
Le festival prévoit, également, des débats interactifs, des projections, une exposition cinématographique en plus de l'événement culturel majeur au Qatar, "Geekend".
Une projection du film "Ode to our land" des réalisatrices Amal Al Muftah et Rawda Al Thani est aussi prévue avec l'aide de techniques audiovisuelles adaptées aux personnes en situation de handicap et en collaboration avec l’Institut de traduction de la Faculté des sciences humaines et sociales de l’Université Hamad Bin Khalifa dans le but de mettre en avant la puissance du cinéma en tant qu’outil d’inclusion dépassant les barrières physiques.
Le festival présente également une nouvelle édition de la série de films "Voices from Palestine" qui mettent en lumière les défis constants auxquels fait face le peuple palestinien dans le cadre d’un programme incluant deux longs métrages et quatre courts-métrages de réalisateurs palestiniens, qui offrent des perspectives poignantes sur les réalités de la vie sous l’occupation.
S'exprimant lors de la conférence de presse officielle, la directrice du festival et PDG de l'Institut du film de Doha, Fatma Hassan Alremaihi, a affirmé que l’art est une forme de défi qui ne peut être réduit au silence.
L'art est un moyen de renforcer la détermination et de promouvoir une compréhension humaine authentique, a-t-elle relevé, ajoutant que ce sont "ces valeurs qui illuminent notre chemin et guident nos actions".
Cette sélection d'œuvres cinématographiques explore des thématiques émouvantes et inspirantes à travers des histoires de résilience, d’espoir et d'autonomisation des communautés, ont souligné les organisateurs, lundi, lors d'une conférence de presse.
Le festival propose, dans le cadre de l’année culturelle Qatar-Maroc 2024, le programme "Made in Morocco", qui offre un aperçu de la vie marocaine et de son paysage culturel en pleine évolution par le biais de six courts métrages explorant des sujets tels que les traditions, l'identité et le changement social.
Le festival prévoit, également, des débats interactifs, des projections, une exposition cinématographique en plus de l'événement culturel majeur au Qatar, "Geekend".
Une projection du film "Ode to our land" des réalisatrices Amal Al Muftah et Rawda Al Thani est aussi prévue avec l'aide de techniques audiovisuelles adaptées aux personnes en situation de handicap et en collaboration avec l’Institut de traduction de la Faculté des sciences humaines et sociales de l’Université Hamad Bin Khalifa dans le but de mettre en avant la puissance du cinéma en tant qu’outil d’inclusion dépassant les barrières physiques.
Le festival présente également une nouvelle édition de la série de films "Voices from Palestine" qui mettent en lumière les défis constants auxquels fait face le peuple palestinien dans le cadre d’un programme incluant deux longs métrages et quatre courts-métrages de réalisateurs palestiniens, qui offrent des perspectives poignantes sur les réalités de la vie sous l’occupation.
S'exprimant lors de la conférence de presse officielle, la directrice du festival et PDG de l'Institut du film de Doha, Fatma Hassan Alremaihi, a affirmé que l’art est une forme de défi qui ne peut être réduit au silence.
L'art est un moyen de renforcer la détermination et de promouvoir une compréhension humaine authentique, a-t-elle relevé, ajoutant que ce sont "ces valeurs qui illuminent notre chemin et guident nos actions".
Bouillon de culture
Théâtre
La 7ème édition du Festival international du théâtre du sud de Guelmim, organisée durant cinq jours par l'Association Adouar du théâtre libre, a pris fin dimanche soir.
La cérémonie de clôture a été marquée par un hommage à plusieurs figures du monde du théâtre et de l'art, notamment Hamdi Tamek, l’un des fondateurs de l'Association Adouar du théâtre libre, Mohamed Belmkadem, président de la section du Syndicat national des professionnels des arts dramatiques à Marrakech, et Ibrahim Hanai, metteur en scène et dramaturge.
Le directeur du festival, Abdellatif Safi, a déclaré à la MAP que l’édition de cette année se distinguait par son riche programme alliant formation, créativité et rencontre avec le public, ajoutant que le festival a atteint tous ses objectifs.
Le programme du festival, organisé avec le soutien du ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication sous le signe "La poétique du théâtre et de la mémoire", comprenait l'organisation de plusieurs activités culturelles et artistiques, dont des représentations théâtrales du Maroc et du Cameroun, un colloque, une rencontre ouverte et des ateliers d'écriture dramatique, de scénographie et de théâtre de marionnettes.
Festival
La 7ème édition du Festival de la Kasbah du court-métrage aura lieu, du 07 au 10 novembre à Ouarzazate, sous le thème "Pour une culture cinématographique inclusive".
Organisé par l’Association pour l’éducation et le développement d’Ouarzazate en partenariat avec le Centre cinématographique marocain (CCM) et les Conseils provinciaux et municipaux d’Ouarzazate, cet événement cinématographique vise à contribuer à la promotion du rayonnement d’Ouarzazate en tant que destination cinématographique de premier plan, tout en offrant un espace d’échange d’expériences et d’expertise entre les jeunes réalisateurs et des metteurs en scène de renom sur le plan national.
Selon les organisateurs, cette manifestation, initiée en coopération avec la préfecture de la province d’Ouarzazate, l'Institut spécialisé dans les métiers du cinéma et d'autres partenaires, constitue un rendez-vous incontournable pour les jeunes cinéastes en leur offrant une opportunité de présenter au grand public leurs créations cinématographiques.
Ainsi, neuf courts métrages, parmi 41 œuvres cinématographiques, sont en compétition officielle pour rafler l’un des prix de cet évènement cinématographique, dont ceux du festival, du meilleur scénario, du meilleur acteur, de la meilleure actrice, de la meilleure photographie et du meilleur son.
Le jury de cette édition est présidé par l'artiste Salima Benmoumen, professeur à l'Institut supérieur d'art dramatique et d'animation culturelle de Rabat, aux côtés de Jamal Taamarat, artiste et réalisateur, Ayoub Tourar, doctorant spécialisé en cinéma, et Toufiq Baba, scénariste et réalisateur.
Au programme de ce festival figurent des ateliers de formation en cinématographie et une conférence sur "La production cinématographique et son rôle dans le développement local", avec la participation d'un parterre d'académiciens et d'experts.
Le festival prévoit également des hommages vibrants à plusieurs noms en reconnaissance de leurs efforts consentis en faveur du développement du cinéma marocain.
La 7ème édition du Festival international du théâtre du sud de Guelmim, organisée durant cinq jours par l'Association Adouar du théâtre libre, a pris fin dimanche soir.
La cérémonie de clôture a été marquée par un hommage à plusieurs figures du monde du théâtre et de l'art, notamment Hamdi Tamek, l’un des fondateurs de l'Association Adouar du théâtre libre, Mohamed Belmkadem, président de la section du Syndicat national des professionnels des arts dramatiques à Marrakech, et Ibrahim Hanai, metteur en scène et dramaturge.
Le directeur du festival, Abdellatif Safi, a déclaré à la MAP que l’édition de cette année se distinguait par son riche programme alliant formation, créativité et rencontre avec le public, ajoutant que le festival a atteint tous ses objectifs.
Le programme du festival, organisé avec le soutien du ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication sous le signe "La poétique du théâtre et de la mémoire", comprenait l'organisation de plusieurs activités culturelles et artistiques, dont des représentations théâtrales du Maroc et du Cameroun, un colloque, une rencontre ouverte et des ateliers d'écriture dramatique, de scénographie et de théâtre de marionnettes.
Festival
La 7ème édition du Festival de la Kasbah du court-métrage aura lieu, du 07 au 10 novembre à Ouarzazate, sous le thème "Pour une culture cinématographique inclusive".
Organisé par l’Association pour l’éducation et le développement d’Ouarzazate en partenariat avec le Centre cinématographique marocain (CCM) et les Conseils provinciaux et municipaux d’Ouarzazate, cet événement cinématographique vise à contribuer à la promotion du rayonnement d’Ouarzazate en tant que destination cinématographique de premier plan, tout en offrant un espace d’échange d’expériences et d’expertise entre les jeunes réalisateurs et des metteurs en scène de renom sur le plan national.
Selon les organisateurs, cette manifestation, initiée en coopération avec la préfecture de la province d’Ouarzazate, l'Institut spécialisé dans les métiers du cinéma et d'autres partenaires, constitue un rendez-vous incontournable pour les jeunes cinéastes en leur offrant une opportunité de présenter au grand public leurs créations cinématographiques.
Ainsi, neuf courts métrages, parmi 41 œuvres cinématographiques, sont en compétition officielle pour rafler l’un des prix de cet évènement cinématographique, dont ceux du festival, du meilleur scénario, du meilleur acteur, de la meilleure actrice, de la meilleure photographie et du meilleur son.
Le jury de cette édition est présidé par l'artiste Salima Benmoumen, professeur à l'Institut supérieur d'art dramatique et d'animation culturelle de Rabat, aux côtés de Jamal Taamarat, artiste et réalisateur, Ayoub Tourar, doctorant spécialisé en cinéma, et Toufiq Baba, scénariste et réalisateur.
Au programme de ce festival figurent des ateliers de formation en cinématographie et une conférence sur "La production cinématographique et son rôle dans le développement local", avec la participation d'un parterre d'académiciens et d'experts.
Le festival prévoit également des hommages vibrants à plusieurs noms en reconnaissance de leurs efforts consentis en faveur du développement du cinéma marocain.