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Aux côtés des partis et des organisations, membres de l’IS, l’USFP a pris part aux travaux du conseil, représenté par les membres du Bureau politique, Touria Majdouline, Zoubida Bouayad, Larbi Ajjoul, ainsi que Aissa Ouardighi, membre du Conseil national.
Au cours de cette session, la délégation de l’USFP a eu des entretiens bilatéraux avec des délégations arabes, africaines, européennes et d’Amérique Latine. La coopération bilatérale, et l’échange d’expériences dans les domaines de la gestion communale, les médias et la formation, des questions de la jeunesse et de la femme ont été également évoqués.
A l’issue de ces entretiens et échanges de vue, plusieurs conventions de partenariat seront signées entre l’USFP et les partis socialistes du Sénégal, Mali, la France, l’Espagne et la Grèce.
La question du Sahara marocain était au centre des discussions des membres de la délégation de l’USFP avec leurs homologues socialistes. Ils leur ont présenté également les derniers développements dans le dossier, à la lumière des tournées de l’envoyé personnel du secrétaire général de l’ONU, Christpoher Ross, effectuées dans la région et de la proposition marocaine de doter les provinces du Sud de l’autonomie, initiative saluée et encouragée par la communauté internationale.
Concernant la transition démocratique au Maroc avec tout ce qu’elle connaît en termes de développement, la délégation de l’USFP a expliqué devant les autres délégations que la participation massive des populations des provinces du Sud aux dernières élections communales du 12 juin 2009 était plus élevée par rapport à la moyenne nationale, et démontre un profond attachement de ces populations au Maroc et leur rejet de l'option séparatiste.
Au cours de cette session, George Papandreou, président de l’IS, avait prononcé un discours sur la crise financière mondiale et ses répercussions sur les personnes et les peuples et avait conclu que les actions conjointes proposées par le G20 au Royaume Uni de repenser le rôle de l’Etat, valorisent l’approche socialiste basée sur le développement économique et la justice sociale pour tout développement humain. A noter que plus de 200 dirigeants et représentants des 170 membres et organisations politiques des cinq continents qui composent l’Internationale socialiste, le mouvement mondial des partis sociaux-démocrates, socialistes et travaillistes ont participé à cette session.
Outre la crise financière, d’autres questions ont été débattues notamment la lutte contre la pauvreté ; la justice et la solidarité dans l’économie mondialisée; le nouveau rôle de l’Etat dans l’économie ; les développements politiques actuels menaçant la sécurité et la stabilité internationales ; la sécurisation internationale de la démocratie ; la crise environnementale ; la sécurisation des buts du développement durable ; la solidarité Nord-Sud, etc.