Plus d'une centaine de représentant de la société civile maghrébine ont répondu favorablement à l'invitation de l'Association, ce qui prouve que la société civile dans les pays du Maghreb est consciente des enjeux et de la portée nationale de l'affaire du Sahara marocain. D'ailleurs, entre autres participants, on a relevé la présence de femmes avocates franco-marocaines, d'origine sahraouie, le doyen d'une université marocaine, des hautes cadres marocains et internautes installés dans la capitale de l'Hexagone ainsi qu'un groupe de doctorants de la Sorbonne et d'autres membres de la société civile aux origines maghrébines.
Il faut dire que ces femmes ont su mobiliser avec beaucoup de succès la plupart des Associations des MRE à Paris ainsi que des Marocains de Suisse, de Belgique et d'autres pays européens.La région française d'Alsace et la région Paca ont ainsi repris le flambeau national allumé par AMEWA pour continuer à mobiliser et défendre la position marocaine, notamment en pressant la communauté internationale de procéder au recensement des séquestrés de Tindouf.Cette rencontre a ainsi connu beaucoup de succès grâce à la forte mobilisation et à la qualité des messages véhiculés par l'ouvrage du professeur Abdelhamid El Ouali.
Cette initiative de l'Association AMEWA est à saluer à plusieurs égards du fait qu'elle avait mobilisé beaucoup d'intellectuels et de représentants de la société civile en France et dans d'autres pays européens et montré que le conflit artificiel du Sahara est monté de toutes pièces par l'Algérie.