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Pour Azouz El Hadri, secrétaire général du bureau national des enseignants contractuels au sein de l'OFPPT, les dernières discussions avec l’administration de l’Office ont été positifs et la prise en main de notre dossier par l’UMT a donné un coup de pousse à cette affaire, «même si on a certaines réserves sur un nombre de points», nous a-t-il déclaré. Le secrétaire général du bureau national des enseignants contractuels au sein de l'OFPPT a précisé : «Notre position est claire dès le début. Nous sommes toujours favorables au dialogue à condition qu’il réponde à nos exigences».
Concernant la poursuite de la grève, M. Al Hadri nous a expliqué que cette décision dépend en grande partie des résultats du dialogue avec la direction de l’OFPPT. «Le mot d’ordre de grève n’a pas été donné pour l’instant, mais on espère que la direction viendra cette fois avec des propositions concrètes», a-t-il souligné.
Par ailleurs, le secrétaire général nous a expliqué que le changement de lieu de sit-in a été pris suite à la demande de l’UMT et après évaluation du contexte politique et social au Maroc et dans la région, jugé tendu par les responsables sécuritaires marocains.
A rappeler que la grève entamée par les enseignants contractuels de l'OFPPT a été suspendue après que l’UMT s’est chargée de leur dossier. Un premier round de négociations avec l'administration de l'Office avait eu lieu. Certaines sources bien informées ont parlé déjà d'une solution proche, même si la Direction générale de l'OFPPT a publié un communiqué de presse dans lequel elle a qualifié certaines personnes parmi les grévistes d'imposteurs et d'intrus, sans rapport aucun avec l'Office.
Pire, elle a affirmé que «certains grévistes ont présenté à l'OFPPT de fausses attestations de travail et des dossiers falsifiés» et que «d'autres sont des dirigeants de petites et moyennes entreprises, dont des écoles privées».