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Nouveaux tirs à BangkokLes manifestants continuent de réclamer la démission de la Première ministre thaïlandaise Reuters
Mercredi 26 Février 2014
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Plusieurs campements de manifestants ont essuyé de nouveaux tirs mercredi matin à Bangkok, faisant un peu plus monter la tension dans la capitale, pendant que la Première ministre était en visite dans son fief du nord de la Thaïlande. Les violences de rue sont devenues quasi quotidiennes dans la capitale de la Thaïlande, où 22 personnes ont été tuées en près de quatre mois de crise politique. Les tirs de mercredi matin, en plein centre-ville, n'ont pas fait de blessé, mais ne font qu'augmenter les suspicions entre partisans et opposants du gouvernement, qui se renvoient la responsabilité de ces provocations par de mystérieux "hommes en noir". "Nous ne savons pas quelle partie est l'auteur des tirs, mais le but des tireurs est d'intimider", a commenté Anucha Romyanan, porte-parole de la police nationale. Les manifestants continuent de réclamer la démission de la Première ministre, Yingluck Shinawatra, qu'ils veulent remplacer par un Conseil du peuple, non élu, le temps d'organiser des élections à une date non définie. Le mouvement ne faiblit pas, même si les manifestations ne rassemblent plus autant. Les manifestants continuent de bloquer des carrefours du centre de Bangkok, filtrant les passages via des barrages. C'est la crise la plus grave que traverse la Thaïlande depuis 2010, quand le mouvement des "chemises rouges", fidèles à l'ex-Premier ministre, Thaksin Shinawatra, frère de Yingluck, avait été l'objet d'un assaut meurtrier de l'armée. Et le gouvernement a une marge de manœuvre limitée dans l'attente que les élections législatives, entravées le 2 février, puissent être menées à terme. La Première ministre continue néanmoins de participer à des événements officiels, de préférence en province. Elle était mercredi dans la ville de Chiang Rai, dans le nord du pays, qui vote massivement pour le parti au pouvoir, contrairement à Bangkok et au sud du pays. Elle a confié "ne pas encore avoir décidé" si elle se rendrait jeudi devant la Commission anticorruption (NACC). Celle-ci pourrait l'inculper pour négligence en liaison avec un programme controversé d'aide aux riziculteurs, procédure qui pourrait mener à sa destitution. Ses partisans ont cependant rejeté tout mouvement de fuite hors de Bangkok, où les manifestants l'empêchent d'accéder à ses bureaux. "Elle ne fuit pas la situation politique à Bangkok", a ainsi assuré le ministre des Transports Chadchart Sittipunt.
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