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Pour encadrer ces activités, deux centres, l'un de travaux agricoles et l'autre d'insémination artificielle existent.
Installé à Ain Jemaâ, ce dernier œuvre pour la vulgarisation des techniques modernes d'élevage, le dépistage des maladies contagieuses et l'amélioration génétique du cheptel.
Grâce à son action, plusieurs éleveurs font désormais appel à des vétérinaires. Parmi eux, les victimes des décès suspects qui viennent de survenir. Ces derniers ont emporté six chevaux, des purs-sangs, dont le coût avoisine les deux millions et demi de DH, deux vaches laitières et une dizaine de brebis. Tous ces animaux recevaient régulièrement la visite d’hommes en blanc. Lesquels ont certes examiné les bêtes décédées, mais ne sont pas encore arrivés à en déterminer la cause ou les causes réelles. Si d’aucuns semblent mettre à l’index, les aliments que les éleveurs servaient à leurs animaux, d’autres, par contre, parlent d’empoisonnement et émettent les réserves les plus expresses sur la qualité des ressources hydriques. Comme dans nombre de régions mitoyennes de la capitale économique, l’eau des puits de Nouaceur est fortement polluée par les rejets industriels.
Reste également l’hypothèse du déclenchement d’une épizootie. Seul le résultat final des analyses ordonnées pourrait l’écarter ou la confirmer. Et dans le cas où le mal existerait, une mise en quarantaine ne manquera pas d’être décrétée. Affaire à suivre …