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L'armée israélienne a fermé durant la nuit de samedi à dimanche une troisième station de radio palestinienne en un mois à Hébron, en Cisjordanie occupée, en l'accusant d'encourager les violences, a indiqué une porte-parole militaire. Les forces militaires "ont confisqué le matériel de diffusion de la station radio surnommée +Dream+ qui a diffusé des programmes en vue de promouvoir et d'encourager le terrorisme contre des civils et les forces de sécurité israéliens", a précisé la porte-parole. Deux stations de radio privées palestiniennes à Hébron, Al-Khalil et Al-Hourriya, accusées elles aussi d'encourager les violences, ont été fermées en novembre par l'armée israélienne. La région de Hébron, dans le sud de la Cisjordanie occupée, est au centre des violences qui frappent Israël et les Territoires palestiniens depuis le 1er octobre. Celles-ci ont fait 98 morts côté palestinien - dont un Arabe israélien - et 17 côté israélien, ainsi qu'un Américain et un Erythréen, selon un décompte de l'AFP.
Irak
Un charnier entouré de mines, où se trouveraient les restes de plus de 120 personnes assassinées par l'organisation Etat islamique (EI), a été découvert dans le nord de l'Irak, a annoncé un responsable samedi.
Il s'agit du sixième charnier découvert près de la ville de Sinjar depuis que le groupe jihadiste en a été chassé mi-novembre, a expliqué à l'AFP le responsable de la zone, Mahma Khalil. L'EI avait pris le contrôle de Sinjar en août 2014, menant une série de massacres, d'enlèvements et de viols contre la minorité yazidie, qui constituait la majorité de sa population.
L'ONU avait décrit cette attaque comme une "tentative de génocide".
De nombreuses mines ont été placées autour du site, qui abrite les restes de 123 personnes selon les témoignages de personnes ayant assisté aux exécutions, a ajouté M. Khalil.
Les mines sont fréquemment utilisées par le groupe radical sunnite, qui a pris le contrôle de larges pans du territoire irakien l'année dernière. Elles constituent une menace majeure même après le départ des jihadistes, empêchant les déplacés de retourner chez eux.