-
Zagora vibre au rythme des "Foulées féminines de la victoire"
-
Chafik El Kettani réélu trésorier général de l’UAJ
-
L'Unité d'intégrité d'athlétisme améliore le classement du Maroc en termes de risque de dopage
-
CHAN 2024: Le Maroc dans le groupe A aux côtés du Kenya, de l'Angola, de la RDC et de la Zambie
-
Zniti met fin à sa carrière avec le Raja
Selon Nuzman, le président de la commission de coordination du CIO, la Marocaine Nawal El Moutawakel, lui aurait déclaré publiquement lors d'un entretien consacré à l'avancée de l'organisation des JO que "tout était bien, que nous sommes au point et qu'ils sont très satisfaits".
Nawal El Moutawakel aurait par ailleurs indiqué dans son évaluation que Rio était "dans les délais et dans le budget", a ajouté M. Nuzman.
La capacité du Brésil à accueillir des grands événements sportifs, lui qui sera le pays-hôte du Mondial-2014 de football et dont Rio organisera les JO en 2016, a été l'objet d'une récente polémique entre le gouvernement brésilien et la Fédération internationale de football.
Celle-ci avait notamment par la voix de son secrétaire général, Jérôme Valcke, appelé le pays à se donner "un coup de pied aux fesses" pour rattraper les retards dans les infrastructures à deux ans du Mondial, avant que le président de la Fifa, Sepp Blatter ne revienne à de meilleures intentions avec le pays-hôte.
Dans la perspective des JO-2016, Carlos Nuzman a reçu lui, le soutien de l'Anglais Sebastian Coe, président du comité d'organisation des Jeux olympiques de Londres en 2012 qui s'est dit "impressionné" après sa visite lundi de certaines installations.
"Permettez-moi de vous féliciter. Si on revient en 2009 à Copenhague, la décision (de donner à Rio l'organisation des JO-2016) qui a été prise à ce moment-là, était la bonne. Nous voyons aujourd'hui que c'était la meilleure décision", a dit Coe, certain que le Brésil organisera des "Jeux grandioses".