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"Je peux vous assurer que rien de pareil ne s'est produit de notre côté" , a-t-il déclaré, cité par l'agence britannique Press Association. "Si quelqu'un veut porter atteinte à des réputations de cette façon, alors il faut qu'il donne des preuves. Vous ne pouvez pas juste accuser quelqu'un comme ça», a-t-il souligné. "Cela n'a pas eu lieu. C'est bien de dire quelque chose, d'essayer d'attaquer la réputation de quelqu'un, mais où est la preuve ?», a-t-il poursuivi. Cette mise au point du concurrent de Sepp Blatter au poste suprême à la Fifa intervient au lendemain de l'audition devant une commission d'enquête parlementaire britannique de l'ex-président du comité de candidature anglaise pour le Mondial 2018, Lord David Triesman. Son témoignage a mis en cause plusieurs membres de la Fifa, les accusant de comportements "incorrects et non éthiques". En outre, selon le député britannique Damian Collins, des éléments non encore divulgués d'une enquête de l'hebdomadaire Sunday Times prouveraient que deux hauts responsables du football mondial ont monnayé leur vote pour le Qatar en échange de 1,5 million de dollars.
Dans un communiqué, la Fifa a par ailleurs annoncé que son secrétaire général Jérôme Valcke avait adressé un courrier à la fédération anglaise pour lui demander un rapport complet quant aux déclarations de Lord Triesman ainsi que l'ensemble des documents liés à ces déclarations. Un courrier a également été adressé au Sunday Times pour demander à l'hebdomadaire britannique de "fournir aussi vite que possible tout nouvel élément dont il pourrait disposer et qui n'aurait pas encore été envoyé à la Fifa».