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Dans ce cadre, les secrétaires généraux des ministères de la l’Education et de la Santé, et des représentants de la FDT, de l’UGTM, de la CDT, et de l’UNTM, du Syndicat indépendant des médecins du secteur libéral et de la Coordination nationale des internes et résidents se sont réunis lundi 6 juin au siège du ministère de l’Enseignement supérieur. Cette réunion a été consacrée aux épineuses questions de l’équivalence du doctorat de la médecine avec le doctorat d’Etat et l’arrêté du ministère de l’Education nationale, de l’Enseignement supérieur, de la Formation des cadres et de la Recherche scientifique fixant la liste des diplômes habilitant à intégrer les cursus doctoraux.
Au cours de cette réunion, le secrétaire général du ministère de l’Enseignement supérieur et d’autres responsables du même département ont fait savoir que la formation des médecins obéit à des conditions et des critères légaux et que le diplôme que préparent et délivrent les facultés de médecine, est le doctorat en médecine qui ne dépend pas du système LMD suivi par d’autres facultés. Du fait que sa valeur scientifique est d’un haut niveau reconnu sur le plan national et international et du fait que le doctorat en médecine est un diplôme national qui ne nécessite pas d’équivalence (Diplôme labélisé). La question de l’équivalence concerne uniquement les diplômes décernés à l’étranger ou par des établissements privés du Maroc.
Pour ce qui est de l’arrêté du ministère de l’Enseignement supérieur, les mêmes responsables ont affirmé que la possibilité d’interpréter et d’expliquer l’arrêté autrement n’a pas lieu d’être. Et d’ajouter que cet arrêté est à même de bénéficier aux titulaires de doctorat en médecine qui souhaitent poursuivre leurs études dans d’autres domaines. Après ces éclaircissements, les 4 syndicats soulignent, dans leur communiqué, qu’ils ont entièrement raison dans tout ce qu’ils ont avancé et déclaré précédemment.