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«The Bench» est sorti le 8 juin dernier, et il était déjà critiqué avant même sa sortie. On a reproché à la duchesse de Sussex d’utiliser son titre pour le vendre, après avoir pourtant quitté la famille royale. On l’a également accusée d’avoir plagié un autre livre pour petits, «The boy on the bench». Malgré les vents contraires, la femme du prince Harry a tout de même réussi à faire de ce bouquin le N°1 sur la liste des bestsellers du New York Times dans la catégorie livres d’images pour enfants, après sa sortie la semaine dernière.
Une nouvelle qu’elle a célébré sur le site de sa fondation, Archewell, en publiant un communiqué, ce 16 juin. A travers les lignes, elle en a profité pour régler ses comptes avec ceux qui lui causent du tort. Elle explique en effet à ceux qui la disent copieuse : «Bien que ce poème ait commencé comme une lettre d’amour à mon mari et à mon fils, je suis encouragé de voir que ses thèmes universels d’amour, de représentation et d’inclusivité résonnent dans les communautés du monde entier.
A bien des égards, la poursuite d’un monde plus compatissant et équitable commence par ces valeurs fondamentales». Perçue par nombre de ses détracteurs comme la trouble-fête de la famille royale, qui a bourré le crâne de Harry, elle a également complimenté le prince Harry, qui est un papa et un mari très attentif, en estimant : «De même, dépeindre une autre facette de la masculinité – fondée sur la connexion, l’émotion et la douceur – revient à modéliser un monde que tant de gens aimeraient voir pour leurs fils et leurs filles».
Meghan Markle a par ailleurs conclu son message par des remerciements, avant de le signer «Meghan, The Duchess of Sussex».