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L’épouse du prince Harry dément en particulier avoir donné des informations personnelles aux journalistes Carolyn Durand et Omid Scobie, qui ont écrit le livre Finding Freedom: Harry and Meghan and the Making of a Modern Royal Family.
Pour les avocats d’Associated Newspapers, qui édite les deux tabloïds sur le banc des accusés, les journalistes ne peuvent pas avoir obtenu autant d’informations personnelles, notamment concernant la lettre écrite par Meghan Markle à son père et au cœur de leur procès, sans avoir été rencardés par le couple princier lui-même – ou bien des proches qu’il aurait envoyés.
De fait, pour les avocats des tabloïds, Meghan Markle ne peut pas d’un côté donner de la matière pour parler de sa vie privée, et de l’autre attaquer les médias pour en parler. Une théorie catégoriquement démentie par l’avocat de la mère du petit Archie, Maître Justin Rushbrooke.
«La plaignante et son mari n’ont pas collaboré avec les auteurs du livre, n’ont pas été interviewés, et n’ont fourni aucune photo aux auteurs», a-t-il déclaré à la Cour lors de cette audience préliminaire, comme le relaye le Hollywood Reporter. L’un des deux auteurs, Omid Scobie, a de son côté fourni une attestation, stipulant que «toute suggestion laissant entendre que le duc et la duchesse ont collaboré au livre est fausse». Le procès s’annonce par ailleurs incertain pour Meghan Markle. En mai, un juge avait débouté la duchesse de Sussex sur une partie de sa plainte, notamment le volet sur la «malhonnêteté» des tabloïds qui auraient, selon l’ancienne actrice de Suits, retoqué son courrier, en enlevant certains passages pour lui donner le mauvais rôle