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Depuis le lancement de « marsad.ma », toujours au stade de test, le site a enregistré un chiffre record d’accès. « Des milliers de citoyens ont visité le site. Ils ont été très nombreux à nous avoir laissé des messages pour dire leur pleine satisfaction face à cette observation populaire qu’ils qualifient même d’exceptionnelle », indique celle qui préside aux destinées de l’Organisation.
C’est à la fin du mois d’octobre que la période de test du site dédié à l’observation populaire des prochaines législatives sera terminée. Les enseignements en seront tirés et des correctifs pourront être apportés pour, par exemple, en faciliter l’accès ou en revoir des fenêtres.
Ceux et celles de cette organisation de défense des droits humains se mobilisent pour la réussite de cette expérience, première du genre au Maghreb et dans le monde arabe. Avant la validation finale du site et la tenue des législatives, l’OMDH présentera le site « marsad.ma » consacré à l’observation populaire au cours d’un séminaire international qui aura lieu début novembre à Genève et auquel vont participer ONG africaines et arabes.
En ces temps de discours sur la construction démocratique, la nouvelle gouvernance et la transparence, l’observation populaire initiée par l’Organisation marocaine des droits humains procède de la sauvegarde du projet démocratique. « C’est aussi et surtout une manière de mettre en œuvre la démocratie participative qui est d’ailleurs stipulée par la nouvelle Constitution. L’observation populaire est l’un des outils de la démocratie participative », conclut Amina Bouayach qui a fait partie de la Commission Menouni de la réforme de la Constitution.