-
Les Etats-Unis accusent les géants des réseaux sociaux de "surveillance de masse"
-
Pêcher "moins et mieux": L'appel de scientifiques pour une pêche vraiment durable
-
Une collection de pièces de monnaie rapporte 14,8 millions d'euros aux enchères
-
En Tunisie, des femmes pêcheuses combattent les inégalités et le changement climatique
-
Le Danemark a un champion de pâté en croûte
Le Pr Luigi Fontana et ses collègues de l'École de médecine de l'université de Washington sont en effet parvenus à prolonger l'espérance de vie et la bonne santé de souris en réduisant simplement leur apport calorique de 10 à 15%. Ils ont ensuite constaté que 30% des rongeurs vivaient plus longtemps et mouraient sans développer de maladies généralement liées à l'âge comme le cancer, les maladies cardiovasculaires ou encore les problèmes cognitifs. A l'inverse, ils expliquent qu'une alimentation abondante pourrait jouer en notre défaveur : "Notre espérance de vie pourrait également diminuer, étant donné que des milliers d'entre nous développent des maladies liées à une mauvaise alimentation pouvant être évitées, notamment le diabète de type 2", note le Pr Luigi Fontana. D'autres recherches pourraient permettre de mieux expliquer ce processus et d'aider les personnes âgées à rester en bonne santé, plus longtemps.