-
Premier Forum parlementaire annuel pour l'égalité et la parité
-
La souveraineté de l'industrie nationale mise à mal
-
La retraite du CDH à Rabat, un conclave de réflexion et d’échange sur l’état et le devenir du Conseil
-
Le rôle de la communauté internationale dans la promotion des droits de l’enfant palestinien, au centre d'une conférence à Amman
-
Le CESE préconise l'instauration d'un système obligatoire unifié entre les différents régimes d'assurance maladie
Selon le journal El Espanol, le juge Lasala détient la preuve que Wali Ibrahim Sayed al-Mustafa, fils du chef de la bande des mercenaires du polisario, a commis le délit de faux et usage de faux.
En outre la même source rapporte que le juge Lassala a fixé un délai de 10 jours pour que le fils d'Ibrahim Ghali comparaisse devant le tribunal d'instruction n°7 de Saragosse.
Le journal espagnol a révélé que ce même juge d'instruction attend toujours une réponse des autorités algériennes, à la lettre judiciaire validée en septembre dernier par le président dudit tribunal leur demandant de préciser si elles étaient responsables de la délivrance du faux passeport présenté par le chef du polisario à l'hôpital de Logroño.
Le mis en cause avait accompagné son père lors de son voyage en Espagne à bord d’un avion algérien, et cela a été confirmé par une infirmière qui se trouvait à l'hôpital où Brahim Ghali a été hospitalisé.
Elle a déclaré au comité d'enquête que Brahim Ghali était enregistré dans les registres de l'hôpital sous le pseudonyme "Mohammed bin Battoush" déclaré par son fils, Wali Ibrahim Sayed al-Mustafa. Le juge Lassala attend la réponse de Brahim Ghali et des autorités algériennes, avant d'ordonner de le localiser sur l’ensemble du territoire espagnol et de rouvrir le dossier d’instruction de cette affaire rocambolesque et mafieuse.
A.E.K