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"La discussion c'est les missiles qu'on s'envoie entre nous. Normal, dans un vestiaire il faut quelquefois s'envoyer des rafales. On était énervés par rapport à la prestation d'ensemble", a expliqué Malouda en conférence de presse.
Cette déclaration au lendemain de la qualification, assurée malgré ce revers, pour les quarts de finale, traduit la drôle d'ambiance électrique qui a semblé régner chez les Bleus dans les minutes qui ont suivi le match.
Alors que la page du fiasco de Knysna -la grève de l'entraînement des Français au Mondial-2010-, a été tournée avec ce premier tour franchi après les échecs à l'Euro-2008 et au Mondial-2010, les Bleus, en quête de rachat et d'une nouvelle image plus apaisée depuis la prise de fonctions de Laurent Blanc au poste de sélectionneur, ont montré qu'ils restaient fragiles.
"Les vieux démons" ont refait surface, selon d'autres mots prononcés par Florent Malouda, qui a fustigé mercredi l'"attitude" et "l'état d'esprit" de ses coéquipiers et évoqué cette sensation désagréable d'un "retour en arrière".
Les Bleus devront vite retrouver de la sérénité s'ils veulent créer l'exploit contre l'Espagne tenante du titre, samedi à Donetsk.