-
Les bidasses d'Alger accouchent d'une ânerie de trop: Le visa pour tout Marocain désireux de se gargariser de "l'Eldorado" algérien
-
Partenariat Maroc-ONUCT. Un engagement continu pour la sécurité et la stabilité en Afrique
-
Le PM palestinien salue les efforts soutenus de Sa Majesté le Roi en faveur de la cause palestinienne
-
Mise en avant à New York de la vision de SM le Roi pour le développement de la coopération Sud-Sud
-
Le CSEFRS publie son rapport annuel au titre de l'année 2023
Le quotidien espagnol El Pais a fait état de cette situation (voir édition du 7 mai), mais a rappelé aussi le sort de plusieurs jeunes Sahraouis qui refusent désormais de vivre dans les camps mais que leurs propres familles et les sbires du Polisario empêchent de quitter Tindouf.
Le ministre espagnol des Affaires étrangères, José Manuel Margallo, a, selon le quotidien espagnol citant des sources diplomatiques, convoqué, samedi dernier, la représentante du Front Polisario, la dénommée Khira Bullahi Bad, pour lui exprimer l’exaspération de son pays, concernant le maintien en séquestration de la jeune Sahraouie.
Parallèlement, le consul général d’Espagne à Alger s’est déplacé à Tindouf pour en parler directement avec les responsables du Polisario; preuve que le gouvernement espagnol prend au sérieux le cas de Maloma Morales. La question est d’autant plus importante que l’Espagne est le principal pourvoyeur d’aide humanitaire aux séquestrés de Tindouf. «Nous accordons une grande importance à ce dossier, et nous délivrerons un passeport à la concernée/séquestrée, afin qu’elle rejoigne le territoire espagnol », a indiqué Victoria Gonzales, directrice générale chargée des affaires des citoyens espagnols à l’étranger.
La jeune Maloma n’est pourtant pas seule dans cette situation. Le problème concerne également plusieurs jeunes Sahraouis dont Najiba Mohamed Belkacem (Huelva), 25 ans, ou encore Daria Mbarek Salma, 29 ans, dont la ville d'adoption est Tenerife, aux Iles Canaries.