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Mis au pied du mur, les caciques du régime algérien ne semblent pas avoir digéré cette vérité. Au lieu de revenir à la raison, ils se sont déchaînés et ont proféré des menaces dignes des temps de la guerre froide.
Profitant de la célébration de la Journée mondiale des Nations unies, à Alger avant-hier, le chef de la diplomatie algérienne, Ramtane Lamamra, a vomi ses insanités à l’encontre du Maroc. Il a ainsi affirmé que «l’Algérie et la région du Maghreb attendent que s’accomplisse la mission de décolonisation du Sahara occidental à travers le référendum d’autodétermination ». Pourtant, les positions intransigeantes des généraux algériens et leurs intrigues ont empêché jusqu’à présent toute solution politique définitive de ce conflit. Car en fin de compte, c’est un secret de polichinelle que d’affirmer que le Front Polisario n’est qu’une organisation fantoche manipulée par l’Algérie pour assouvir ses ambitions hégémoniques.
La fermeté et la clarté avec lesquelles S.M le Roi Mohammed VI a abordé la question de nos provinces sahariennes lors de son dernier discours ont également décontenancé le Front Polisario. Le Souverain a, en effet, affirmé que «la souveraineté du Maroc sur l’ensemble de son territoire est immuable, inaliénable et non négociable », et que «l’Initiative d’autonomie est le maximum que le Maroc puisse offrir dans le cadre de la négociation pour trouver une solution définitive à ce conflit régional », avant de trancher sur le même ton : « Le Maroc restera dans son Sahara, et le Sahara demeurera dans son Maroc jusqu’à la fin des temps ».
Acculés par la clarté limpide de cette position, les responsables du Polisario ne semblent plus savoir quoi faire sinon recourir à la sempiternelle litanie qu’ils ne cessent de remettre au goût du jour chaque fois qu’ils se trouvent dans l’impasse, à savoir menacer de reprendre les armes. Cette fois-ci, c’est un haut responsable, en l’occurrence Mohamed Salem Ould Salek, qui a déclaré que «le peuple sahraoui n'aura d'autre choix que de retourner à la lutte armée face à l'inertie de la communauté internationale et au non-respect de la légalité internationale par le Maroc ». Le peut-il et en a-t-il les moyens ? Rien n’est moins sûr mais comme l’avait affirmé l’un de ses maîtres à penser, en l’occurrence Joseph Goebbels, l’horrible ministre de la propagande d’Hitler, « plus le mensonge est gros, mieux il passe »