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Nous en sommes à l’entame de la dernière étape avant d’en finir avec le dossier du Sahara pour nous consacrer entièrement au grand projet de développement
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Driss Lachguar préside la réunion du Conseil national de la Chabiba
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L’USFP exprime sa grande fierté de la teneur du Discours Royal prononcé à l’occasion du 49ème anniversaire de la glorieuse Marche Verte
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Le Groupe socialiste-Opposition ittihadie interpelle l’Exécutif au sujet de l’avenir du commerce extérieur, des infrastructures sportives, du phénomène des résidus de constructions dans les villes, entre autres
Pour sa part, la députée socialiste Malika Zakhnini a interpellé la ministre déléguée chargée de la Transition numérique et de la Réforme de l'administration en lui adressant une question orale sur la situation des techniciens marocains. «Quand est-ce un dialogue sérieux et responsable sera ouvert avec les représentants des techniciens (corps national des techniciens au Maroc)? Et quelles sont les mesures urgentes que le gouvernement envisage de prendre pour rendre justice à cette catégorie de techniciens ?», s’est interrogée la députée du Groupe socialiste, précisant que «le nombre de stagiaires des centres de l’OFPPT s'élève cette année à plus de 400.000, qui s'ajoutent aux milliers de techniciens diplômés chaque année, ce qui constitue les ressources humaines sur lesquelles le Maroc parie pour la dynamisation de l'économie nationale, la modernisation et la numérisation de l'administration, la simplification technique des démarches administratives et la modernisation de tous les secteurs ». Elle a également souligné que le nombre de techniciens dans la fonction publique est supérieur à 26.000 personnes et leur nombre dans les collectivités communales et les établissements publics est supérieur à 120.000 personnes, affirmant que, vu le rôle important que joue cette catégorie, «il est devenu inacceptable de passer sous silence ses protestations et revendications justes et légitimes».
Quant au ministre de la Santé et de la Protection sociale, il a été interpellé par la députée socialiste Khadouj Slassi sur la souffrance des habitants du quartier Addoha, sis à Arsat Zaitoun, Route Ain Chkaf à Fès, en raison de l'absence d'un centre de santé. Dans une question écrite, elle a expliqué que si le gouvernement s'est engagé à renforcer le budget du secteur de la santé et les centres de soins de santé de base, le quartier Addoha, considéré comme l'un des quartiers sociaux et comprenant environ 20.000 personnes, manque toujours d'un centre de santé, ce qui oblige ses habitants à parcourir 5 à 6 kilomètres jusqu'au centre le plus proche. Khadouj Slassi a interrogé le ministre de tutelle sur les mesures que son département envisage de prendre pour créer un centre de santé dans ce quartier populaire, ainsi que sur le calendrier pour sa réalisation.
Pour sa part, la députée ittihadie Nezha Abakrim a adressé une question écrite à la ministre de l’Aménagement du territoire national, de l’Urbanisme, de l’Habitat et de la Politique de la ville sur la souffrance et le drame des habitants des bidonvilles à Agadir Ida-Outanane. Elle a expliqué que «la section D au Haut Anza, préfecture d’Agadir Ida-Outanane, qui abrite une partie des bidonvilles d’Anza, et pour la deuxième fois après 2014, a connu une catastrophe et un drame humain après les récentes pluies qui se sont abattues sur la ville d'Agadir ». La députée socialiste a appelé le ministère à diligenter une enquête sur ces événements douloureux et à déterminer leurs causes, tout en s’interrogeant sur les mesures qu’il compte prendre pour inciter la société Al Omrane Al Janoub à achever un canal de drainage des eaux pluviales dans cette zone sinistrée.