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Elle a également pour objectif d’expliquer aux Sahraouis les raisons qui poussent cette bande à rejeter toutes les solutions proposées pour mettre fin à ce conflit qui ne cesse d’aggraver la situation lamentable dans laquelle vivent les populations sahraouies. Dans une déclaration à la presse, un membre fondateur du Polisario qui a requis l’anonymat, a indiqué que les initiateurs de ce cadre se sentent responsables de la situation dramatique dans laquelle se débattent les Sahraouis, d’autant qu’ils sont à l’origine de la création du Polisario qui a dévié de ses objectifs, ajoutant que la soumission de Abdelaziz et ses proches à l’agenda algérien constitue un obstacle insurmontable qui rend impossible toute solution négociée. Pour les membres fondateurs ayant regagné le Maroc ceux qui pensent que le Polisario peut être partie prenante dans la moindre solution, se font des illusions et que toutes les preuves et réalités historiques le montrent aisément. Ils citent en exemple, une série d’instructions données par le régime algérien, au cours des années 90 pour faire échouer le plan de référendum, à travers l’incitation des chioukhs à saboter toute tentative de dresser les listes des participants. Aujourd’hui, les décisions et les positions du Front dictées par Alger et visant à poser des obstacles empêchant toute solution négociée sont une autre preuve de la volonté algérienne de faire perdurer le conflit. Le moment choisi pour le cadre que comptent créer les ex-dirigeants du Polisario est justifié par la situation explosive que connaissent les camps de Tindouf du fait de la précarité économique, sociale et politique provoquant la montée de la criminalité, de l’extrémisme et la détérioration du moral des habitants qui ne voient aucune lueur d’espoir de changement.