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Les mêmes sources rapportent que le chef du Polisario a tenu des réunions consultatives pour soi-disant relancer ce processus dans un proche avenir, avec d’anciens chioukhs des tribus toujours présents dans les camps de Tindouf, prétendant que ces chioukhs sont les seuls habilités à désigner les personnes autorisées à participer au référendum.
Cette condition avancée par le Polisario de ne relancer les négociations qu’après acceptation du référendum que tout le monde, y compris Ban Ki-moon, s’était accordé pour dire qu’il n’était pas envisageable du fait de l’impossibilité de définir les participants potentiels.
A noter que la mission de l’ONU pour l’organisation du référendum au Sahara, MINURSO, avait enregistré 120.000 dossiers de participants à ce référendum rejetés par les chioukhs pour non-conformité aux 5 critères convenus par les parties du conflit dans le cadre des accords de Houston pour la paix.
Si on a pu enregistrer, ces derniers jours, des rencontres organisées dans les provinces du Sud par les walis et gouverneurs avec les chioukhs sahraouis, certains d’entre eux ont déclaré qu’aucune orientation, dans ce sens, ne leur a été donnée.